Investing.com - Le dollar U.S. a consolidé ses positions face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, dans le sillage des bones performances enregistrées sur le marché du travail là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3084.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 24.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 13 juillet, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 13.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Les yeux étaient désormais tournés vers la seconde partie de l'audition semestrielle du chef de la banque centrale américaine.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait rappelé lors de la première, devant le congrès, qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,70% pour se hisser à 100,25, établissant un pic journalier.
Le billet vert a aussi de nouveau fait céder du terrain à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0,07% pour reprendre pied à 1,5201.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé des couleurs après que le bureau des statistiques ait constaté que les ventes au détail britanniques avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a aussi subi une pression renforcée, l'USD/CHF grignotant 0,48% pour culminer à 0,9454.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs encore plus nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD reculant de 0,78% pour se retrouver à 0,9166, le NZD/USD se laissant arracher 0,29% pour toucher le fond à 0,7881 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0413.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels de l'Australie avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,30% pour se situer à 83,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3084.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 24.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 13 juillet, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 13.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Les yeux étaient désormais tournés vers la seconde partie de l'audition semestrielle du chef de la banque centrale américaine.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait rappelé lors de la première, devant le congrès, qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,70% pour se hisser à 100,25, établissant un pic journalier.
Le billet vert a aussi de nouveau fait céder du terrain à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0,07% pour reprendre pied à 1,5201.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé des couleurs après que le bureau des statistiques ait constaté que les ventes au détail britanniques avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
Le franc suisse a aussi subi une pression renforcée, l'USD/CHF grignotant 0,48% pour culminer à 0,9454.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs encore plus nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD reculant de 0,78% pour se retrouver à 0,9166, le NZD/USD se laissant arracher 0,29% pour toucher le fond à 0,7881 et l'USD/CAD prenant 0,08% pour monter à 1,0413.
La première s'est a perdu des plumes après que la National Australia Bank ait fait savoir à l'aube que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 2 à -1 au cours du second trimestre.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a aussi souligné que son indice des signaux économiques prévisionnels de l'Australie avait stagné en mai, après avoir pourtant frémi de 0,3% le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,30% pour se situer à 83,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.