Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, dans l'expectative des chiffres des Etats-Unis, tandis que la prudence demeurait exacerbée par les orientations incertaines de leur banque centrale.
En première partie de séance européenne, l'euro a modérément fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,09% pour tomber à 1,3334.
Une étude officielle avait révélé à la mi-journée que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu sans surprise une augmentation de 1,6% le mois dernier, comme lors du précédent.
Ceux de base, excluant les coûts fortement volatils de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, s'est par contre limitée à 1,1% après les 1,2% de juin.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant révélé que l'excédent des paiements courants avait davantage diminué ce mois-là qu'anticipé, passant ainsi de 19,5 à 16,9 milliards d'euros.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 19 milliards d'euros pour la période considérée.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant grignotant 0,05% pour s'élever à 1,5641.
Le yen et le franc suisse ont toutefois modérément subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 97,41 et l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9269.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD frémissant de 0,25% pour se retrouver à 0,9164, le NZD/USD se laissant arracher 0,13% pour toucher le fond à 0,8063 et l'USD/CAD prenant 0,20% pour monter à 1,0327.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 81,27.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.
En première partie de séance européenne, l'euro a modérément fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,09% pour tomber à 1,3334.
Une étude officielle avait révélé à la mi-journée que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu sans surprise une augmentation de 1,6% le mois dernier, comme lors du précédent.
Ceux de base, excluant les coûts fortement volatils de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, s'est par contre limitée à 1,1% après les 1,2% de juin.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant révélé que l'excédent des paiements courants avait davantage diminué ce mois-là qu'anticipé, passant ainsi de 19,5 à 16,9 milliards d'euros.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 19 milliards d'euros pour la période considérée.
Le billet vert a cependant cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant grignotant 0,05% pour s'élever à 1,5641.
Le yen et le franc suisse ont toutefois modérément subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,02% pour se hisser à 97,41 et l'USD/CHF grignotant 0,07% pour culminer à 0,9269.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD frémissant de 0,25% pour se retrouver à 0,9164, le NZD/USD se laissant arracher 0,13% pour toucher le fond à 0,8063 et l'USD/CAD prenant 0,20% pour monter à 1,0327.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,12% pour se situer à 81,27.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.