Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, retrouvant même des couleurs par rapport à son homologue nippon, avec le reflux de l'angoisse d'une attaque imminente dirigée par les Etats-Unis contre la Syrie.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,58% pour se hisser à 98,20.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,69% pour tomber à 1,3246.
La devise européenne s'est retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5490.
Cette dernière bénéficiait cependant toujours du soutien de l'hypothèse d'une remontée prochaine des taux de la Banque d'Angleterre, contrairement à ce qu'elle avait laissé entendre, en raison de résultats supérieurs aux attentes.
Elle était aussi encouragée par la confirmation de la reprise des négociations entre l'opérateur téléphonique britannique Vodafone et son collègue américain Verizon Communications, en vue de l'acquisition des parts du premier dans la coentreprise Verizon Wireless.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,78% pour culminer à 0,9279.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs gardé l'ascendant sur ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,8929, le NZD/USD se laissant arracher 0,24% pour toucher le fond à 0,7779 et l'USD/CAD prenant 0,17% pour monter à 1,0505.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,59% pour se situer à 81,92.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,58% pour se hisser à 98,20.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,69% pour tomber à 1,3246.
La devise européenne s'est retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5490.
Cette dernière bénéficiait cependant toujours du soutien de l'hypothèse d'une remontée prochaine des taux de la Banque d'Angleterre, contrairement à ce qu'elle avait laissé entendre, en raison de résultats supérieurs aux attentes.
Elle était aussi encouragée par la confirmation de la reprise des négociations entre l'opérateur téléphonique britannique Vodafone et son collègue américain Verizon Communications, en vue de l'acquisition des parts du premier dans la coentreprise Verizon Wireless.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,78% pour culminer à 0,9279.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs gardé l'ascendant sur ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,8929, le NZD/USD se laissant arracher 0,24% pour toucher le fond à 0,7779 et l'USD/CAD prenant 0,17% pour monter à 1,0505.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,59% pour se situer à 81,92.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.