Investing.com - Le dollar U.S. restait en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'ombre d'une possible paralysie des administrations américaines redorant le blason des valeurs sûres, et notamment son homologue japonais, alors que l'intensification de l'instabilité politique italienne nuisait encore à l'européen.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,43% pour reprendre pied à 97,81, aux alentours d'un creux d'un mois.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,20% pour tomber à 1,3494 après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Il avait été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,11% pour se hisser à 1,6156, aux abords d'un sommet de huit mois.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la corde après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas estimé pas nécessaire de procéder à de nouveaux rachats d'obligations.
Elle n'a guère fait cas de l'augmentation sans surprise des prêts nets là où elle a cours ayant eu lieu en août, tandis que les accords d'hypothèques augmentaient plus vite qu'anticipé.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour déraper à 0,9054, à portée de main d'une ornière de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD s'élevant de 0,19% pour se retrouver à 0,9332, le NZD/USD se laissant arracher 0,05% pour toucher le fond à 0,8277 et l'USD/CAD trébuchant de 0,01% pour descendre à 1,0304.
La première avait perdu de sa superbe après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,02% pour se situer à 80,38.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,43% pour reprendre pied à 97,81, aux alentours d'un creux d'un mois.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,20% pour tomber à 1,3494 après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Il avait été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,11% pour se hisser à 1,6156, aux abords d'un sommet de huit mois.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la corde après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas estimé pas nécessaire de procéder à de nouveaux rachats d'obligations.
Elle n'a guère fait cas de l'augmentation sans surprise des prêts nets là où elle a cours ayant eu lieu en août, tandis que les accords d'hypothèques augmentaient plus vite qu'anticipé.
Le franc suisse a par contre exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour déraper à 0,9054, à portée de main d'une ornière de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD s'élevant de 0,19% pour se retrouver à 0,9332, le NZD/USD se laissant arracher 0,05% pour toucher le fond à 0,8277 et l'USD/CAD trébuchant de 0,01% pour descendre à 1,0304.
La première avait perdu de sa superbe après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,02% pour se situer à 80,38.