Investing.com - Le dollar U.S. était un peu moins en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, dans le sillage de chiffres de l'emploi plutôt encourageants, dans l'ombre persistante de la paralysie là où il a cours et des conséquences qu'elle pourrait avoir sur la première économie mondiale.
En seconde partie de séance européenne, le yen a cependant fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,47% pour se retrouver à 97,80.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 1.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 26 septembre, pour un total hebdomadaire de 308.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 313.000 était redoutée.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 307.000, après révision vers le haut des 305.000 préalablement avancés.
Le billet vert demeurait malgré tout sur la défensive, les yeux rivés sur les implications de l'impasse budgétaire des Etats-Unis.
Le président Barack Obama s'est entretenu hier avec les chefs des factions démocrate et républicaine du parlement, sans qu'une solution semble vouloir émerger.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3603, frôlant un sommet de huit mois.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les ventes au détail dans la région ayant adopté ce dernier avaient augmenté de 0,7% en août, dépassant ainsi largement les 0,2% pressentis dans le sillage des 0,5% après révision à la hausse de juillet.
Il a aussi été noté que l'état des lieux des prestataires de la région établi par le groupe de recherches économiques Markit avait connu un sursaut depuis 52,1 jusqu'à 52,2 pour septembre, au lieu de la stagnation envisagée.
Son équivalent pour l'Allemagne a cependant mis en relief un ralentissement de son expansion en se réduisant des 54,4 d'août vers 53,7, alors qu'un maintien semblait là aussi probable.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD subissant un faux pas de 0,18% pour glisser à 1,6195, lorgnant toujours sur un pic de neuf mois.
Markit avait précédemment vu son baromètre de l'activité tertiaire britannique se rétracter depuis 60,5 vers 60,3 pour septembre, alors qu'une érosion à 60,0 était redoutée.
Il était d'autre part à souligner que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,3% dans le même temps, au lieu des 0,5% anticipés, prolongeant les 0,3% après révision à la baisse d'août.
Le franc suisse a quand à lui exercé sa pression, l'USD/CHF se rétractant de 0,07% pour tomber à 0,9021.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,05% pour monter à 0,9390 , le NZD/USD cédant 0,49% pour toucher le fond à 0,8289 et l'USD/CAD régressant de 0,04% pour aller vers 1,0332.
Les valeurs fortement dépendantes des exportations de matières premières avaient retrouvé du mordant après que les autorités de la Chine aient montré à l'aube que leur indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier était passé de 53,9 à 55,4 pour septembre, son plus haut niveau en six mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 79,94.
En seconde partie de séance européenne, le yen a cependant fléchi devant lui, l'USD/JPY s'élevant de 0,47% pour se retrouver à 97,80.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 1.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 26 septembre, pour un total hebdomadaire de 308.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 313.000 était redoutée.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 307.000, après révision vers le haut des 305.000 préalablement avancés.
Le billet vert demeurait malgré tout sur la défensive, les yeux rivés sur les implications de l'impasse budgétaire des Etats-Unis.
Le président Barack Obama s'est entretenu hier avec les chefs des factions démocrate et républicaine du parlement, sans qu'une solution semble vouloir émerger.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ce conflit sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3603, frôlant un sommet de huit mois.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les ventes au détail dans la région ayant adopté ce dernier avaient augmenté de 0,7% en août, dépassant ainsi largement les 0,2% pressentis dans le sillage des 0,5% après révision à la hausse de juillet.
Il a aussi été noté que l'état des lieux des prestataires de la région établi par le groupe de recherches économiques Markit avait connu un sursaut depuis 52,1 jusqu'à 52,2 pour septembre, au lieu de la stagnation envisagée.
Son équivalent pour l'Allemagne a cependant mis en relief un ralentissement de son expansion en se réduisant des 54,4 d'août vers 53,7, alors qu'un maintien semblait là aussi probable.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD subissant un faux pas de 0,18% pour glisser à 1,6195, lorgnant toujours sur un pic de neuf mois.
Markit avait précédemment vu son baromètre de l'activité tertiaire britannique se rétracter depuis 60,5 vers 60,3 pour septembre, alors qu'une érosion à 60,0 était redoutée.
Il était d'autre part à souligner que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,3% dans le même temps, au lieu des 0,5% anticipés, prolongeant les 0,3% après révision à la baisse d'août.
Le franc suisse a quand à lui exercé sa pression, l'USD/CHF se rétractant de 0,07% pour tomber à 0,9021.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,05% pour monter à 0,9390 , le NZD/USD cédant 0,49% pour toucher le fond à 0,8289 et l'USD/CAD régressant de 0,04% pour aller vers 1,0332.
Les valeurs fortement dépendantes des exportations de matières premières avaient retrouvé du mordant après que les autorités de la Chine aient montré à l'aube que leur indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier était passé de 53,9 à 55,4 pour septembre, son plus haut niveau en six mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,07% pour se situer à 79,94.