Investing.com - Le dollar U.S. était plus ou moins en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, alors que la prudence restait de mise sur fond d'incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis, et sur leur budget.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,36% pour se retrouver à 98,65.
Ce dernier a regagné du mordant après que le premier ministre japonais Taro Aso ait assuré ne pas envisager un abaissement de la taxation des entreprises.
Ces propos venaient dissiper les rumeurs selon lesquelles le gouvernement nippon se serait apprêté à avouer "envisager en urgence" une telle manoeuvre lors de la mise au point de sa série de mesures stiulatrices de la semaine prochaine.
Les prix à la consommation japonais ont pour leur part augmenté de 0,8% le mois passé, prolongeant ainsi les 0,7% précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 0,7%.
Les angoisses liées au problème de leur budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
Le billet vert demeurait aussi sur la sellette en raison du flou concernant l'avenir des injections de la Réserve Fédérale, trois de ses plus hauts représentants ayant avoué hier qu'elle avait contribué à entretenir la confusion au sujet de ses intentions.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3503.
Mais celui-ci demeurait fragilisé après que Benoît Coeure, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que celle-ci avait encore les coudées franches pour réduire ses taux au besoin, sans toutefois viser d'objectif précis à ceux offerts sur les marchés financiers.
La livre sterling et le franc suisse ont également exercé leur pression, le GBP/USD prenant 0,20% pour se hisser à 1,6071 et l'USD/CHF glissant de 0,21% pour tomber à 0,9084.
La première a repris du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré au journal Yorkshire Post qu'il n'estimait pas nécessaire de procéder à des rachats d'obligations, étant donné les signes de reprise nationale, précisant que davantage d'aides seraient envisagées dans le cas contraire.
Les acteurs du secteur immobilier britannique ont d'autre part constaté une inflation de 0,9% des prix des logements, dépassant largement les 0,5% envisagés à la suite des 0,7% revus vers le haut d'août.
Le baromètre helvète établi par l'agence de recherches économiques KOF s'est quand à lui élevé depuis les 1,37 après révision à la hausse précédents jusqu'à 1,53 pour le mois en cours, au lieu des 1,47 espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,37% pour descendre à 0,9325, le NZD/USD laissant échapper 0,09% pour toucher le fond à 0,8284 et l'USD/CAD progressant de 0,17% pour aller vers 1,0328.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 80,54.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,36% pour se retrouver à 98,65.
Ce dernier a regagné du mordant après que le premier ministre japonais Taro Aso ait assuré ne pas envisager un abaissement de la taxation des entreprises.
Ces propos venaient dissiper les rumeurs selon lesquelles le gouvernement nippon se serait apprêté à avouer "envisager en urgence" une telle manoeuvre lors de la mise au point de sa série de mesures stiulatrices de la semaine prochaine.
Les prix à la consommation japonais ont pour leur part augmenté de 0,8% le mois passé, prolongeant ainsi les 0,7% précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 0,7%.
Les angoisses liées au problème de leur budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
Le billet vert demeurait aussi sur la sellette en raison du flou concernant l'avenir des injections de la Réserve Fédérale, trois de ses plus hauts représentants ayant avoué hier qu'elle avait contribué à entretenir la confusion au sujet de ses intentions.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,11% pour grimper à 1,3503.
Mais celui-ci demeurait fragilisé après que Benoît Coeure, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que celle-ci avait encore les coudées franches pour réduire ses taux au besoin, sans toutefois viser d'objectif précis à ceux offerts sur les marchés financiers.
La livre sterling et le franc suisse ont également exercé leur pression, le GBP/USD prenant 0,20% pour se hisser à 1,6071 et l'USD/CHF glissant de 0,21% pour tomber à 0,9084.
La première a repris du poil de la bête après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré au journal Yorkshire Post qu'il n'estimait pas nécessaire de procéder à des rachats d'obligations, étant donné les signes de reprise nationale, précisant que davantage d'aides seraient envisagées dans le cas contraire.
Les acteurs du secteur immobilier britannique ont d'autre part constaté une inflation de 0,9% des prix des logements, dépassant largement les 0,5% envisagés à la suite des 0,7% revus vers le haut d'août.
Le baromètre helvète établi par l'agence de recherches économiques KOF s'est quand à lui élevé depuis les 1,37 après révision à la hausse précédents jusqu'à 1,53 pour le mois en cours, au lieu des 1,47 espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,37% pour descendre à 0,9325, le NZD/USD laissant échapper 0,09% pour toucher le fond à 0,8284 et l'USD/CAD progressant de 0,17% pour aller vers 1,0328.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 80,54.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.