Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents les des rares échanges de ce jeudi matin, dans l'attente de la prise de pouls imminente de l'économie des Etats-Unis, sur fond de doutes sur les orientations de leur banque centrale.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,34% pour se hisser à 98,77.
Les observateurs guettaient désormais les chiffres définitifs du produit intérieur brut américain du second trimestre, après qu'une série de résultats économiques aient récemment ravivé les craintes au sujet de la relance.
Une croissance supérieure aux attentes aurait toutes les chances de ranimer le spectre d'une réduction des injections de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
Elle avait en effet déclaré la semaine passée qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap.
Les problèmes budgétaires étaient de nouveau au premier plan après que les dirigeants républicains de la chambre des députés aient annoncés aux membres de leur groupe qu'un vote sur le plafond d'endettement fédéral pourrait se dérouler dès demain.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,14% pour tomber à 1,3508.
La monnaie unique gardait cependant des couleurs après qu'il ait été révélé hier que l'optimisme des ménages allemands pour octobre s'élevait à son plus haut niveau depuis juin 2007.
L'indice Gfk de la confiance des consommateurs pour le futur s'est ainsi élevé à 7,1, et celui pour ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,6048, et l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9101.
Une étude officielle avait auparavant montré sans surprise que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait augmenté de 0,7% au second trimestre.
Il a cependant légèrement déçu avec seulement 1,3% d'une année sur l'autre au lieu des 1,5% anticipés.
Il était aussi à noter que le déficit du compte courant britannique avait moins diminué qu'espéré, passant des 21,8 milliards de GBP des trois premiers mois de l'année à 13 milliards.
Les experts pensaient pourtant le voir plonger à 12 milliards de GBP.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,33% pour se retrouver à 0,9398, le NZD/USD arrachant 0,61% pour prendre pied à 0,8291 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour tucher le fond à 1,0309.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 80,52.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,34% pour se hisser à 98,77.
Les observateurs guettaient désormais les chiffres définitifs du produit intérieur brut américain du second trimestre, après qu'une série de résultats économiques aient récemment ravivé les craintes au sujet de la relance.
Une croissance supérieure aux attentes aurait toutes les chances de ranimer le spectre d'une réduction des injections de la Réserve Fédérale avant la fin de l'année.
Elle avait en effet déclaré la semaine passée qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap.
Les problèmes budgétaires étaient de nouveau au premier plan après que les dirigeants républicains de la chambre des députés aient annoncés aux membres de leur groupe qu'un vote sur le plafond d'endettement fédéral pourrait se dérouler dès demain.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,14% pour tomber à 1,3508.
La monnaie unique gardait cependant des couleurs après qu'il ait été révélé hier que l'optimisme des ménages allemands pour octobre s'élevait à son plus haut niveau depuis juin 2007.
L'indice Gfk de la confiance des consommateurs pour le futur s'est ainsi élevé à 7,1, et celui pour ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,21% pour chuter à 1,6048, et l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9101.
Une étude officielle avait auparavant montré sans surprise que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait augmenté de 0,7% au second trimestre.
Il a cependant légèrement déçu avec seulement 1,3% d'une année sur l'autre au lieu des 1,5% anticipés.
Il était aussi à noter que le déficit du compte courant britannique avait moins diminué qu'espéré, passant des 21,8 milliards de GBP des trois premiers mois de l'année à 13 milliards.
Les experts pensaient pourtant le voir plonger à 12 milliards de GBP.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,33% pour se retrouver à 0,9398, le NZD/USD arrachant 0,61% pour prendre pied à 0,8291 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour tucher le fond à 1,0309.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 80,52.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le nombre des ventes de logements en cours.