Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne dans une bande limitée face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, dans le sillage de résultats commerciaux peu encourageants là où il a cours, la prudence restant de mise en raison du manque de clarté au sujet des orientations futures de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, il a moins fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,09% pour se retrouver à 98,66.
Le bureau du recensement a en effet mesuré une érosion de 0,1% des commandes de biens durables, excluant le moyens de transport, en août, alors qu'un sursaut de 1% était espéré après celui de 0,5% ayant précédé.
Elles ont cependant frémi de 0,1% au total, au lieu des 0,2% envisagés, après l'effondrement de 8,1% constaté après révision vers le bas pour juillet.
La nervosité était toujours palpable après que la Réserve Fédérale ait surpris certains analystes avec le maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Elle avait aussi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, prenant ainsi de cours ceux qui avaient accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Les statistiques divulguées hier ont renforcé les craintes au sujet de la relance des Etats-Unis, malgré la remontée des prix des logements de juillet, la confiance des particuliers ayant reculé en septembre, en raison de la peur d'une incapacité de l'économie à maintenir son rythme dans les mois à venir.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,24% pour grimper à 1,3505.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après qu'il ait été révélé en début de journée que l'optimisme des ménages allemands pour octobre s'élevait à son plus haut niveau depuis juin 2007.
L'indice Gfk de l'optimisme de consommateurs pour le futur s'est ainsi élevé à 7,1, et celui de ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
Le billet vert a aussi vu la livre sterling lui arracher quelques centimètres de terrain, le GBP/USD se renforçant de 0,30% pour se hisser à 1,6050, tout en subissant la pression du franc suisse, l'USD/CHF se rétractant de 0,22% pour tomber à 0,9109.
La devise de la Grande-Bretagne a repris du mordant après que la confédération de la grande distribution britannique ait vu son indice des ventes au détail bondir depuis les 27,0 du mois dernier vers 34,0, son plus haut niveau depuis juin 2012, alors que les experts craignaient pourtant de le voir se replier à 24,0.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD chutant de 0,27% pour tomber à 0,9365, le NZD/USD sombrant de 0,55% pour toucher le fond à 0,8237 et l'USD/CAD progressant de 0,12% pour aller vers 1,0313.
Il avait été souligné à l'aube que le décifit du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande avait gonflé depuis 774 millions jusqu'à 1,191 milliards de NZD pour août, alors qu'une diminution vers 743 millions de NZD était anticipée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 80,58.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance européenne, il a moins fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,09% pour se retrouver à 98,66.
Le bureau du recensement a en effet mesuré une érosion de 0,1% des commandes de biens durables, excluant le moyens de transport, en août, alors qu'un sursaut de 1% était espéré après celui de 0,5% ayant précédé.
Elles ont cependant frémi de 0,1% au total, au lieu des 0,2% envisagés, après l'effondrement de 8,1% constaté après révision vers le bas pour juillet.
La nervosité était toujours palpable après que la Réserve Fédérale ait surpris certains analystes avec le maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Elle avait aussi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, prenant ainsi de cours ceux qui avaient accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Les statistiques divulguées hier ont renforcé les craintes au sujet de la relance des Etats-Unis, malgré la remontée des prix des logements de juillet, la confiance des particuliers ayant reculé en septembre, en raison de la peur d'une incapacité de l'économie à maintenir son rythme dans les mois à venir.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,24% pour grimper à 1,3505.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après qu'il ait été révélé en début de journée que l'optimisme des ménages allemands pour octobre s'élevait à son plus haut niveau depuis juin 2007.
L'indice Gfk de l'optimisme de consommateurs pour le futur s'est ainsi élevé à 7,1, et celui de ce mois-ci a été revu à la hausse depuis 6,9 vers 7.
Le billet vert a aussi vu la livre sterling lui arracher quelques centimètres de terrain, le GBP/USD se renforçant de 0,30% pour se hisser à 1,6050, tout en subissant la pression du franc suisse, l'USD/CHF se rétractant de 0,22% pour tomber à 0,9109.
La devise de la Grande-Bretagne a repris du mordant après que la confédération de la grande distribution britannique ait vu son indice des ventes au détail bondir depuis les 27,0 du mois dernier vers 34,0, son plus haut niveau depuis juin 2012, alors que les experts craignaient pourtant de le voir se replier à 24,0.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD chutant de 0,27% pour tomber à 0,9365, le NZD/USD sombrant de 0,55% pour toucher le fond à 0,8237 et l'USD/CAD progressant de 0,12% pour aller vers 1,0313.
Il avait été souligné à l'aube que le décifit du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande avait gonflé depuis 774 millions jusqu'à 1,191 milliards de NZD pour août, alors qu'une diminution vers 743 millions de NZD était anticipée.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,14% pour se situer à 80,58.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.