Investing.com - Le dollar U.S. était modérément en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, figé par rapport à ses homologues européens, dans l'expectative des résultats commerciaux des Etats-Unis là où il a cours.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,05% pour se hisser à 97,91.
Les observateurs guettaient les résultats commerciaux des Etats-Unis, sur fond de rumeurs savamment entretenues sur une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a prolongé son ascension de la veille, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles avaient d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,05% pour s'établir à 1,3306.
La paire avait brièvement culminé après que le centre de recherches économiques ZEW ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
La livre sterling a quand à elle bien résisté, le GBP/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,5458, après qu'il ait été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF s'élevant de 0,23% pour s'établir à 0,9278.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,10% pour se retrouver à 0,9138, le NZD/USD se laissant arracher 0,16% pour toucher le fond à 0,7997 et l'USD/CAD prenant 0,15% pour monter à 1,0318.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 81,56.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,05% pour se hisser à 97,91.
Les observateurs guettaient les résultats commerciaux des Etats-Unis, sur fond de rumeurs savamment entretenues sur une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a prolongé son ascension de la veille, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles avaient d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,05% pour s'établir à 1,3306.
La paire avait brièvement culminé après que le centre de recherches économiques ZEW ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans l'économie de l'Allemagne avait gagné 5,7 points, passant ainsi de 36,3 à 42,0 pour août, au lieu des 40,0 anticipés par les experts.
L'optimisme concernant l'économie de la zone euro suivait le mouvement, depuis les 32,8 de juillet jusqu'à 44,0, un niveau jamais vu depuis avril 2010.
La livre sterling a quand à elle bien résisté, le GBP/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,5458, après qu'il ait été montré que les prix proposés aux particuliers du Royaume-Uni avaient augmenté de manière moins nette le mois dernier.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF s'élevant de 0,23% pour s'établir à 0,9278.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,10% pour se retrouver à 0,9138, le NZD/USD se laissant arracher 0,16% pour toucher le fond à 0,7997 et l'USD/CAD prenant 0,15% pour monter à 1,0318.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 81,56.