Investing.com - Le dollar U.S. était en léger retrait face à la plupart de ses concurrents ce vendredi après-midi, la nervosité étant palpable à l'approche du décompte crucial des embauches là où il a cours, sur fond d'incertitudes pesantes sur les orientations futures de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,07% pour grimper à 1,3217.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait en effet été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient pourtant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
La monnaie unique avait perdu des plumes après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,27% pour se hisser à 1,5159.
Le groupe de recherches économiques Markit avait souligné dans la matinée que son baromètre de l'activité du secteur du bâtiment britannique avait grimpé depuis 51,0 vers 57,0 en juillet, pulvérisant ainsi les 51,5 envisagés.
Il était d'autre part à noter que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,8% le mois passé, dépassant largement les 0,4% pressentis après les 0,3% précédents.
Le yen et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0,12% pour se retrouver à 99,64 et l'USD/CHF frémissant de 0,01% pour monter à 0,9367.
L'association des logisticiens SVME avait fait savoir à la mi-journée que son indice des directeurs des achats helvètes avait gonflé depuis 51,9 jusqu'à 57,4 pour le mois dernier, sa valeur la plus élevée depuis juin 2011.
Il n'était pourtant pas envisagé qu'il dépasse 52,5 sur ce laps de temps.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,49% pour sombrer à 0,8882, le NZD/USD dérapant de 0,40% pour toucher le fond à 0,7862 et l'USD/CAD progressant de 0,36% pour aller vers 1,0383.
Le bureau des statistiques de l'Australie avait constaté à l'aube une inflation de 0,1% au second trimestre, au lieu des 0,5% anticipés dans le sillage des 0,3% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 82,42.
Les chiffres portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront en effet sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, au lendemain de la constatation du plongeon du nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
En fin de première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,07% pour grimper à 1,3217.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait en effet été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient pourtant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
La monnaie unique avait perdu des plumes après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,27% pour se hisser à 1,5159.
Le groupe de recherches économiques Markit avait souligné dans la matinée que son baromètre de l'activité du secteur du bâtiment britannique avait grimpé depuis 51,0 vers 57,0 en juillet, pulvérisant ainsi les 51,5 envisagés.
Il était d'autre part à noter que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,8% le mois passé, dépassant largement les 0,4% pressentis après les 0,3% précédents.
Le yen et le franc suisse ont par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0,12% pour se retrouver à 99,64 et l'USD/CHF frémissant de 0,01% pour monter à 0,9367.
L'association des logisticiens SVME avait fait savoir à la mi-journée que son indice des directeurs des achats helvètes avait gonflé depuis 51,9 jusqu'à 57,4 pour le mois dernier, sa valeur la plus élevée depuis juin 2011.
Il n'était pourtant pas envisagé qu'il dépasse 52,5 sur ce laps de temps.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD coulant de 0,49% pour sombrer à 0,8882, le NZD/USD dérapant de 0,40% pour toucher le fond à 0,7862 et l'USD/CAD progressant de 0,36% pour aller vers 1,0383.
Le bureau des statistiques de l'Australie avait constaté à l'aube une inflation de 0,1% au second trimestre, au lieu des 0,5% anticipés dans le sillage des 0,3% du premier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 82,42.
Les chiffres portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront en effet sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, au lendemain de la constatation du plongeon du nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.