Investing.com - Le dollar U.S. ne savait sur quel pied danser face à la plupart de ses concurrents ce vendredi matin, dans l'expectative de chiffres provenant des Etats-Unis, après que ceux divulgués hier aient laissé espérer une poursuite de la reprise.
En première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3247.
Le billet vert gardait des couleurs après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
Les autorités du bloc ayant adopté la monnaie unique ont quand à elles constaté une inflation au détail qui se limitait en passant de 1,6 à 1,3% pour le mois en cours, soit un peu moins que les 1,4% pressentis.
Elles ont d'autre part constaté sans surprise une stabilisation du chômage à 12,1% pour juillet.
Il avait auparavant été déploré que les ventes au détail allemandes aient plongé de 1,4% sur la même période, alors qu'un sursaut de 0,5% semblait se profiler, le déclin de celles de juin se trouvant toutefois modéré par révision depuis 1,5 vers 0,8%.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,06% pour se hisser à 1,5495.
La Banque d'Angleterre avait révélé dans la matinée que le volume des prêts nets consentis aux particuliers était passé de 1,4 à 1,3 milliards de GBP au cours du mois dernier, alors que 1,7% semblaient se profiler.
Une autre étude soulignait que les coûts des logements britanniques avaient gonflé sans surprise de 0,6% en août.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 98,12 et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9299.
Le groupe de recherches économiques Markit avait publié à l'aube son indice des directeurs des achats manufacturiers du Japon, qui était remonté depuis 50,7 vers 52,2 pour août.
Une étude préliminaire soulignait quand à elle que la production industrielle du pays n'avait gagné que 3,2% le mois dernier, au lieu des 3,7% espérés après le faux pas de 3,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que les prix à la consommation du pays avaient augmenté de 0,7% annualisés en juillet, dépassant de peu les 0,6% anticipés, après les 0,4% de juin.
Les dépenses des ménages ont aussi gonflé de 0,1% dans le même temps, au lieu des 0,3% envisagés, après le passage à vide de 0,4% ayant précédé.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé sa cousines australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,01% pour descendre à 0,8930, le NZD/USD engrangeant 0,01% pour culminer à 0,7771 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0529.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de à,01% pour se situer à 82,00.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.
En première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3247.
Le billet vert gardait des couleurs après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
Les autorités du bloc ayant adopté la monnaie unique ont quand à elles constaté une inflation au détail qui se limitait en passant de 1,6 à 1,3% pour le mois en cours, soit un peu moins que les 1,4% pressentis.
Elles ont d'autre part constaté sans surprise une stabilisation du chômage à 12,1% pour juillet.
Il avait auparavant été déploré que les ventes au détail allemandes aient plongé de 1,4% sur la même période, alors qu'un sursaut de 0,5% semblait se profiler, le déclin de celles de juin se trouvant toutefois modéré par révision depuis 1,5 vers 0,8%.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,06% pour se hisser à 1,5495.
La Banque d'Angleterre avait révélé dans la matinée que le volume des prêts nets consentis aux particuliers était passé de 1,4 à 1,3 milliards de GBP au cours du mois dernier, alors que 1,7% semblaient se profiler.
Une autre étude soulignait que les coûts des logements britanniques avaient gonflé sans surprise de 0,6% en août.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 98,12 et l'USD/CHF glissant de 0,12% pour tomber à 0,9299.
Le groupe de recherches économiques Markit avait publié à l'aube son indice des directeurs des achats manufacturiers du Japon, qui était remonté depuis 50,7 vers 52,2 pour août.
Une étude préliminaire soulignait quand à elle que la production industrielle du pays n'avait gagné que 3,2% le mois dernier, au lieu des 3,7% espérés après le faux pas de 3,1% ayant précédé.
Il était aussi à noter que les prix à la consommation du pays avaient augmenté de 0,7% annualisés en juillet, dépassant de peu les 0,6% anticipés, après les 0,4% de juin.
Les dépenses des ménages ont aussi gonflé de 0,1% dans le même temps, au lieu des 0,3% envisagés, après le passage à vide de 0,4% ayant précédé.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs à peine dominé sa cousines australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,01% pour descendre à 0,8930, le NZD/USD engrangeant 0,01% pour culminer à 0,7771 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0529.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de à,01% pour se situer à 82,00.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.