Investing.com - Le dollar U.S. restait nettement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, se trouvant boudé en raison de l'angoisse causée par les perturbations touchant les administrations des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,43% pour se retrouver à 97,79.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités entamaient la première mise à pied partielle de leurs services là où il a cours, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,22% pour grimper à 1,3554, s'accrochant à un pic de sept mois.
Il a d'autre part été signalé que la mesure finale de l'activité des usines du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était maintenue sans surprise à 51,1 en septembre après révision, mais stagnant au-dessous de son record des 26 mois écoulés établi auparavant à 51,4.
L'Allemagne a par contre déploré un second saut de puce consécutif du nombre de ses demandeurs d'emploi, tandis que son chômage faisait de même, depuis les 6,8% d'août jusqu'à 6,9%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a d'autre part constaté que celui de la région s'était stabilisé aux 12% après révision vers le bas des 12,1% précédents sur la même période.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,3è% pour se hisser à 1,6244, aux abords d'un sommet des huit mois écoulés.
Cette dernière s'était brièvement retrouvée en difficulté dans le sillage de résultats un peu moins encourageants de la part des industries là où elle a cours, celles-ci s'accrochant cependant à un pic de deux ans et demi.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre manufacturier britannique avait subi une érosion depuis les 57,1 après révision vers le bas d'août vers 56,7, alors que les experts avaient pourtant espéré une sursaut à 57,3.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9038, proche d'une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne et la canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 1,02% pour monter à 0,9417, le NZD/USD laissant échapper 0,22% pour toucher le fond à 0,8283 et l'USD/CAD régressant de 0,06% pour aller vers 1,0302.
La première avait retrouvé du mordant après que la Réserve Bancaire d'Australie ait maintenu à l'aube son taux d'intérêt directeur à son plancher historique de 2,5%.
Elle a d'autre part estimé que son affaiblissement "aiderait à rééquilibrer la croissance du pays".
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,30% pour se situer à 80,09, son pire niveau des huit derniers mois.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec le baromètre de la forme des industries nationales.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,43% pour se retrouver à 97,79.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités entamaient la première mise à pied partielle de leurs services là où il a cours, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Le camp républicain tenait a en effet à monnayer un vote favorable au budget contre un délai dans la mise en place des réformes du système de santé du président Obama.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,22% pour grimper à 1,3554, s'accrochant à un pic de sept mois.
Il a d'autre part été signalé que la mesure finale de l'activité des usines du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était maintenue sans surprise à 51,1 en septembre après révision, mais stagnant au-dessous de son record des 26 mois écoulés établi auparavant à 51,4.
L'Allemagne a par contre déploré un second saut de puce consécutif du nombre de ses demandeurs d'emploi, tandis que son chômage faisait de même, depuis les 6,8% d'août jusqu'à 6,9%.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a d'autre part constaté que celui de la région s'était stabilisé aux 12% après révision vers le bas des 12,1% précédents sur la même période.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,3è% pour se hisser à 1,6244, aux abords d'un sommet des huit mois écoulés.
Cette dernière s'était brièvement retrouvée en difficulté dans le sillage de résultats un peu moins encourageants de la part des industries là où elle a cours, celles-ci s'accrochant cependant à un pic de deux ans et demi.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre manufacturier britannique avait subi une érosion depuis les 57,1 après révision vers le bas d'août vers 56,7, alors que les experts avaient pourtant espéré une sursaut à 57,3.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9038, proche d'une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne et la canadienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 1,02% pour monter à 0,9417, le NZD/USD laissant échapper 0,22% pour toucher le fond à 0,8283 et l'USD/CAD régressant de 0,06% pour aller vers 1,0302.
La première avait retrouvé du mordant après que la Réserve Bancaire d'Australie ait maintenu à l'aube son taux d'intérêt directeur à son plancher historique de 2,5%.
Elle a d'autre part estimé que son affaiblissement "aiderait à rééquilibrer la croissance du pays".
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,30% pour se situer à 80,09, son pire niveau des huit derniers mois.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec le baromètre de la forme des industries nationales.