Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents, et notamment l'euro, ce lundi après-midi, les doutes concernant les nouvelles mesures de lutte contre la crise de la dette prises par l'Union Européenne nuisant à la demandes pour les valeurs les plus rémunératrices.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.2602.
Les chefs des états membres de l'Union Européenne ont en effet décidé vendredi, d'utiliser les capitaux de secours pour la zone euro pour renflouer directement les banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des états, tout en leur permettant d'acheter des dettes nationales afin de maintenir des coûts bas pour les emprunts.
Ils doivent aussi mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
Mais la monnaie uunique s'est retrouvée sur la sellette en raison des doutes concernant l'efficacité à long terme des mesures adoptées sur les causes premières du problème du surendettement régional, ainsi que le flou concernant les détails de leur mise en action.
L'angoisse concernant l'expansion économique du bloc euro a ressurgi après que des chiffres officiels aient montré à la mi-journée que son taux de chômage s'était élevé en mai vers un nouveau record avec 11.1%, contre 11% auparavant.
Il avait d'autre part été signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers y était passé à 45.1 pour juin, dépassant son évaluation préalable à 44.8, se maintenant toutefois à son niveau le plus bas depuis le même mois de l'année 2009.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain supplémentaires sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.2% pour chuter à 1.5671.
Il avait auparavant été montré que l'activité manufacturière britannique avait retrouvé des couleurs en juin, tout en demeurant fragilisée.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire est donc passé de 45.9 à 48.6 pour la période considérée, demeurant toutefois inférieur au seuil des 50 séparant régression et expansion, et ce alors que les experts n'espéraient pas le voir dépasser 46.7.
Le yen a un peu moins exercé sa pression, et le franc suisse lui a moins résisté, l'USD/JPY laissant échapper 0.05% pour se replier à 79.76 et l'USD/CHF encaissant 0.55% pour culminer à 0.9538.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.07% pour monter à 1.0173, l'AUD/USD avançant de 0.13% pour se retrouver à 1.0249 et le NZD/USD arrachant 0.22% pour culminer à 0.8030.
L'indice des directeurs des achats chinois établi par HSBC et divulgué ce matin avait quand à lui frémi de 48.1 préalablement estimés vers 48.2 en juin, signalant un huitième mois de contraction consécutif.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.38% pour se situer à 82.03.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devrait dévoiler l'activité du secteur secondaire dans l'après-midi.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.2602.
Les chefs des états membres de l'Union Européenne ont en effet décidé vendredi, d'utiliser les capitaux de secours pour la zone euro pour renflouer directement les banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des états, tout en leur permettant d'acheter des dettes nationales afin de maintenir des coûts bas pour les emprunts.
Ils doivent aussi mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
Mais la monnaie uunique s'est retrouvée sur la sellette en raison des doutes concernant l'efficacité à long terme des mesures adoptées sur les causes premières du problème du surendettement régional, ainsi que le flou concernant les détails de leur mise en action.
L'angoisse concernant l'expansion économique du bloc euro a ressurgi après que des chiffres officiels aient montré à la mi-journée que son taux de chômage s'était élevé en mai vers un nouveau record avec 11.1%, contre 11% auparavant.
Il avait d'autre part été signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers y était passé à 45.1 pour juin, dépassant son évaluation préalable à 44.8, se maintenant toutefois à son niveau le plus bas depuis le même mois de l'année 2009.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain supplémentaires sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.2% pour chuter à 1.5671.
Il avait auparavant été montré que l'activité manufacturière britannique avait retrouvé des couleurs en juin, tout en demeurant fragilisée.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire est donc passé de 45.9 à 48.6 pour la période considérée, demeurant toutefois inférieur au seuil des 50 séparant régression et expansion, et ce alors que les experts n'espéraient pas le voir dépasser 46.7.
Le yen a un peu moins exercé sa pression, et le franc suisse lui a moins résisté, l'USD/JPY laissant échapper 0.05% pour se replier à 79.76 et l'USD/CHF encaissant 0.55% pour culminer à 0.9538.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.07% pour monter à 1.0173, l'AUD/USD avançant de 0.13% pour se retrouver à 1.0249 et le NZD/USD arrachant 0.22% pour culminer à 0.8030.
L'indice des directeurs des achats chinois établi par HSBC et divulgué ce matin avait quand à lui frémi de 48.1 préalablement estimés vers 48.2 en juin, signalant un huitième mois de contraction consécutif.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.38% pour se situer à 82.03.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements devrait dévoiler l'activité du secteur secondaire dans l'après-midi.