Investing.com - Le dollar U.S. se renforçait encore face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, notamment après qu'il ait été noté que la croissance des Etats-Unis entre début avril et fin juin ait été revue à la hausse, et que leur marché du travail émettait des signaux positifs, laissant espérer une poursuite de la relance.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,82% pour se hisser à 98,44, établissant au passage un pic journalier.
Le département d'état au commerce américain a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
Ces performances ont du coup ravivé les rumeurs de fermeture des robinets de la Réserve Fédérale dès septembre.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à .000, après révision vers le haut des .000 préalablement avancés.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,73% pour tomber à 1,3241.
La devise européenne s'était retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
La prudence restait de mise en raison de la crainte d'une offensive dirigée par les Etats-Unis contre les autorités de la Syrie, après que celles-ci aient été accusées d'avoir employé des armes chimiques.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,5493.
Cette dernière bénéficiait cependant toujours du soutien de l'hypothèse d'une remontée prochaine des taux de la Banque d'Angleterre, contrairement à ce qu'elle avait laissé entendre, en raison de résultats supérieurs aux attentes.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF empochant 0,87% pour culminer à 0,9301.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs gardé l'ascendant sur ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,8929, le NZD/USD se laissant arracher 0,42% pour toucher le fond à 0,7765 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0509.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,68% pour se situer à 81,99.
En seconde partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,82% pour se hisser à 98,44, établissant au passage un pic journalier.
Le département d'état au commerce américain a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
Ces performances ont du coup ravivé les rumeurs de fermeture des robinets de la Réserve Fédérale dès septembre.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à .000, après révision vers le haut des .000 préalablement avancés.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,73% pour tomber à 1,3241.
La devise européenne s'était retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
La prudence restait de mise en raison de la crainte d'une offensive dirigée par les Etats-Unis contre les autorités de la Syrie, après que celles-ci aient été accusées d'avoir employé des armes chimiques.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,5493.
Cette dernière bénéficiait cependant toujours du soutien de l'hypothèse d'une remontée prochaine des taux de la Banque d'Angleterre, contrairement à ce qu'elle avait laissé entendre, en raison de résultats supérieurs aux attentes.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF empochant 0,87% pour culminer à 0,9301.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs gardé l'ascendant sur ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,13% pour se retrouver à 0,8929, le NZD/USD se laissant arracher 0,42% pour toucher le fond à 0,7765 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0509.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,68% pour se situer à 81,99.