Investing.com - Le dollar U.S. a encore fait la grise mine face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, les performances peu réjouissantes sur le front de l'emploi semant le doute sur la solidité de la relance là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à un nouveau creux journalier, l'USD/JPY trébuchant de 0,71% pour se retrouver à 97,32.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 166.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, une déception au vu des 180.000 espérés.
L'estimation préalable pour le mois précédent à 176.000 a d'autre part dû être revue vers le bas à 159.000.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la mise à pied partielle de leurs services, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Cette dernière avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Il en allait de même dans une mesure bien moindre avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3530, après que la Banque Centrale Européenne ait opté sans surprise pour la prudence avec un taux directeur stagnant à 0,5%.
Son président Mario Draghi tiendra sous peu une conférence de presse à ce sujet.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta semblait prêt à affronter aujourd'hui avec succès un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait retourné sa veste en abandonnant son opposition à la coalition, après avoir pourtant annoncé samedi le retrait des ministres de son parti du gouvernement.
La livre sterling a également conquis du terrain, le GBP/USD prenant 0,17% pour se hisser à 1,6233, lorgnant vers un pic de neuf mois.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction là où elle a cours avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le franc suisse a d'autre part exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,17% pour tomber à 0,9040, frôlant une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,53% pour descendre à 0,9348, le NZD/USD laissant échapper 0,40% pour toucher le fond à 0,8242 et l'USD/CAD progressant de 0,13% pour aller vers 1,0339.
La première s'était trouvée fragilisée après que le solde du commerce extérieur de l'Australie ait dépassé les craintes en août, et que le volume des permis de construire accordés avait davantage diminué qu'il était craint.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,20.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à un nouveau creux journalier, l'USD/JPY trébuchant de 0,71% pour se retrouver à 97,32.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 166.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, une déception au vu des 180.000 espérés.
L'estimation préalable pour le mois précédent à 176.000 a d'autre part dû être revue vers le bas à 159.000.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la mise à pied partielle de leurs services, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Cette dernière avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Il en allait de même dans une mesure bien moindre avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3530, après que la Banque Centrale Européenne ait opté sans surprise pour la prudence avec un taux directeur stagnant à 0,5%.
Son président Mario Draghi tiendra sous peu une conférence de presse à ce sujet.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta semblait prêt à affronter aujourd'hui avec succès un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait retourné sa veste en abandonnant son opposition à la coalition, après avoir pourtant annoncé samedi le retrait des ministres de son parti du gouvernement.
La livre sterling a également conquis du terrain, le GBP/USD prenant 0,17% pour se hisser à 1,6233, lorgnant vers un pic de neuf mois.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction là où elle a cours avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le franc suisse a d'autre part exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,17% pour tomber à 0,9040, frôlant une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,53% pour descendre à 0,9348, le NZD/USD laissant échapper 0,40% pour toucher le fond à 0,8242 et l'USD/CAD progressant de 0,13% pour aller vers 1,0339.
La première s'était trouvée fragilisée après que le solde du commerce extérieur de l'Australie ait dépassé les craintes en août, et que le volume des permis de construire accordés avait davantage diminué qu'il était craint.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,20.