Investing.com - La livre sterling na guère pris le dessus face au dollar U.S. lors des rares transactions de ce vendredi, la prudence restant le maître-mot en raison du flou au sujet du moment où l'émettrice de son adversaire réduira l'ampleur de ses coups de pouce, alors que les observateurs guettaient un rapport sur l'humeur des particuliers américains.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5416 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5398, grignotant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5290, son plancher du 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5478, son plafond du 25 juin.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de leur banque centrale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8629.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5416 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5398, grignotant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5290, son plancher du 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5478, son plafond du 25 juin.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de leur banque centrale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé; celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ayant par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8629.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.