Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce vendredi, après qu'il ait été révélé que le domaine de la construction avait connu son embellie la plus nette en trois ans, dans l'expectative du décompte crucial des embauches des Etats-Unis.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5176 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5116, prenant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5046, son plancher du 16 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5254, son plafond du 31.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre de l'activité du secteur du bâtiment britannique avait grimpé depuis 51,0 vers 57,0 en juillet, pulvérisant ainsi les 51,5 envisagés.
Il était par ailleurs à noter que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,8% le mois passé, dépassant largement les 0?4% pressentis après les 0,3% précédents.
Les chiffres portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront en effet sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, après que le nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi ait plongé la semaine passée à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
Le département d'état au travail américain a ainsi dénombré hier 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, alors qu'un maintien à 345.000 était à craindre.
Celui de la précédente se situait pour sa part à 345.000, après révision vers le haut des 343.000 préalablement avancés.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,24% pour dérape à 0,8716.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait aussi été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient cependant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5176 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5116, prenant 0,28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5046, son plancher du 16 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5254, son plafond du 31.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet souligné que son baromètre de l'activité du secteur du bâtiment britannique avait grimpé depuis 51,0 vers 57,0 en juillet, pulvérisant ainsi les 51,5 envisagés.
Il était par ailleurs à noter que les coûts des logements du Royaume-Uni avaient augmenté de 0,8% le mois passé, dépassant largement les 0?4% pressentis après les 0,3% précédents.
Les chiffres portant sur les créations de postes hors agriculture des Etats-Unis seront en effet sous surveillance cet après-midi, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail, après que le nombre de leurs nouveaux demandeurs d'emploi ait plongé la semaine passée à son niveau le plus bas depuis janvier 2008.
Le département d'état au travail américain a ainsi dénombré hier 19.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 26 juillet, pour un total hebdomadaire de 326.000 après correction saisonnière, alors qu'un maintien à 345.000 était à craindre.
Celui de la précédente se situait pour sa part à 345.000, après révision vers le haut des 343.000 préalablement avancés.
La Réserve Fédérale s'était quand à elle bien gardée la veille de donner tout signe d'une réduction prochaine de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,24% pour dérape à 0,8716.
Une diminution du nombre des chômeurs espagnols avait aussi été mise en relief pour la cinquième fois d'affilée en juillet, voyant leur nombre diminué de 64.900 unités, prolongeant les 127.200 précédents.
Les experts attendaient cependant une soustraction de 80.000 pour la période considérée.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.