Investing.com - La livre sterling a fait mieux que résister au dollar U.S. ce mardi, après qu'il ait été montré que les prix proposés aux particuliers avaient augmenté de manière moins nette que prévu le mois dernier.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5483 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5475, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5380, son plancher suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5520, son plafond d'hier.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Cette évolution était d'après lui imputable à la diminution des coûts des billets d'avion et des vêtements.
Les prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, à la volatilité prononcée, ont vu leur poussée limitée à 2% dans le même temps, au lieu des 2,3% anticipés.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
L'indice des prix au détail prenait quand à lui sans surprise 3,1%, après les 3,3% de juin.
L'institut royal des géomètres agréés RICS avait aussi révélé que les coûts des logements avaient bonnu en juillet leur envolée la plus nette en sept ans, alimentant l'angoisse d'une bulle immobilière.
Il a ajouté que son baromètre ajusté saisonnièrement du solde des prix des habitations avait bondi de 21 vers 36 pour le mois passé.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
La livre sterling a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8591.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5483 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5475, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5380, son plancher suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5520, son plafond d'hier.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que l'inflation s'était limitée à 2,8% annualisés en juillet, au lieu des 2,9% précédents.
Cette évolution était d'après lui imputable à la diminution des coûts des billets d'avion et des vêtements.
Les prix de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, à la volatilité prononcée, ont vu leur poussée limitée à 2% dans le même temps, au lieu des 2,3% anticipés.
L'inflation mensuelle avait d'autre part été nulle, alors qu'une augmentation de 0,1% était enticipée, suite au faux pas de 0,2% ayant précédé.
L'indice des prix au détail prenait quand à lui sans surprise 3,1%, après les 3,3% de juin.
L'institut royal des géomètres agréés RICS avait aussi révélé que les coûts des logements avaient bonnu en juillet leur envolée la plus nette en sept ans, alimentant l'angoisse d'une bulle immobilière.
Il a ajouté que son baromètre ajusté saisonnièrement du solde des prix des habitations avait bondi de 21 vers 36 pour le mois passé.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, en raison de l'idée selon laquelle un volume important de leurs ventes au détail, qui sera dévoilé aujourd'hui, pourrait confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
La livre sterling a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8591.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.