Investing.com - La livre sterling a fait mieux que copenser ses pertes matinales face au dollar U.S. ce jeudi après-midi, son émettrice ayant estimé urgent d'attendre, alors que son adversaire profitait déjà depuis hier d'une attitude similaire de la part de la sienne.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5127, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,5235 en secondde partie de séance européenne, gagnant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5079, son plancher du 17 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5354, son plafond de mardi.
La Banque d'Angleterre a en effet maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de Mark Carney.
Celui-ci, auparavant à la tête de la Banque du Canada, avait hérité au premier juillet du poste de gouverneur de Mervyn King.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le billet vert avait retrouvé des coouleurs après que la Réserve Fédérale ait achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les chiffres de l'emploi que les Etats-Unis diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Ma devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP chutant de 0,64% pour glisser à 0,8690.
Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1, alors qu'un stagnation semblait probable.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette alors que l'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5127, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,5235 en secondde partie de séance européenne, gagnant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5079, son plancher du 17 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5354, son plafond de mardi.
La Banque d'Angleterre a en effet maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP, lors de sa seconde réunion sous l'égide de Mark Carney.
Celui-ci, auparavant à la tête de la Banque du Canada, avait hérité au premier juillet du poste de gouverneur de Mervyn King.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité manufacturière britannique avait bondi de 52,9 vers 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas vers 52,8 était craint.
Le billet vert avait retrouvé des coouleurs après que la Réserve Fédérale ait achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les chiffres de l'emploi que les Etats-Unis diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Ma devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP chutant de 0,64% pour glisser à 0,8690.
Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1, alors qu'un stagnation semblait probable.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette alors que l'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.