Investing.com - L'euro s'est retrouvé largement affaibli face à ses principaux concurrents ce mardi, la peur que les incertitudes politiques grecques n'aggravent la crise de la dette de la zone euro plombant l'atmosphère.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.302.
Il est en effet demeuré sur la sellette après que le parti de la Nouvelle Démocratie, premier de Grèce, n'ait pas réussi hier à former une coalition après le scrutin de dimanche.
Les dirigeants politiques continuaient à tenir des négociations entre les formations, dans l'angoisse que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La monnaie unique n'a guère redressé la tête malgré les résultats officiels montrant que la production industrielle allemande avait bondi de 2.8% en mars, dépassant largement les 0.8% attendus, après avoir subi trois mois de disette.
Elle a repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, mais restait dangereusement proche de son ornière de trois ans et demi, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour se hisser à 0.8068.
Elle s'est par ailleurs rapprochée d'un creux de deux mois et demi sous la pression du yen, l'EUR/JPY glissant de 0.41% vers 103.83, mais à mieux résisté à celle du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.2011.
Elle a toutefois dominé ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD gagnant 0.43% pour grimper à 1.2851, l'EUR/CAD avançant de 0.22% pour s'élever à 1.2989, et l'EUR/NZD engrangeant 0.47% pour culminer à 1.6498.
La devise de l'Australie s'est retrouvée remise en question après que des chiffres officiels aient signalé que le commerce extérieur national avait subi en mars son troisième mois de ddéficit consécutif, les exportations de matières premières continuant à s'effondrer.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait quand à lui prendre dans l'après-midi la parole à Francfort.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.302.
Il est en effet demeuré sur la sellette après que le parti de la Nouvelle Démocratie, premier de Grèce, n'ait pas réussi hier à former une coalition après le scrutin de dimanche.
Les dirigeants politiques continuaient à tenir des négociations entre les formations, dans l'angoisse que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La monnaie unique n'a guère redressé la tête malgré les résultats officiels montrant que la production industrielle allemande avait bondi de 2.8% en mars, dépassant largement les 0.8% attendus, après avoir subi trois mois de disette.
Elle a repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, mais restait dangereusement proche de son ornière de trois ans et demi, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour se hisser à 0.8068.
Elle s'est par ailleurs rapprochée d'un creux de deux mois et demi sous la pression du yen, l'EUR/JPY glissant de 0.41% vers 103.83, mais à mieux résisté à celle du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.2011.
Elle a toutefois dominé ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD gagnant 0.43% pour grimper à 1.2851, l'EUR/CAD avançant de 0.22% pour s'élever à 1.2989, et l'EUR/NZD engrangeant 0.47% pour culminer à 1.6498.
La devise de l'Australie s'est retrouvée remise en question après que des chiffres officiels aient signalé que le commerce extérieur national avait subi en mars son troisième mois de ddéficit consécutif, les exportations de matières premières continuant à s'effondrer.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait quand à lui prendre dans l'après-midi la parole à Francfort.