Investing.com - L'euro a continué de progresser sur le dollar U.S. et le yen ce mercredi, sur fond de rumeurs selon lesquelles le Fonds Monétaire International envisagerait d'augmenter sa capacité de prêt afin de protéger l'économie mondiale des effets de la crise financière de la zone euro.
En fin de première séance européenne, le billet vert fléchissait nettement devant lui, l'EUR/USD bondissant de 0.71% pour grimper à 1.2836.
La monnaie unique a encore gagné en popularité après qu'il ait été rapporté que le FMI tenterait de trouver un accord permettant d'augmenter le volume de ses capitaux depuis les 385 milliards d'USD actuels jusqu'à 1 billion lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés devant se dérouler en fin de mois prochain.
Son blason s'était auparavant trouvé terni contre sa rivale britannique après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Ces précisions faisaient suite à la déclaration de la semaine passée, selon laquelle il y avait des chances "significatives" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier malgré sa notation A+ actuelle.
Elle a également fait céder du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.49% pour se hisser à 0.8346.
Un rapport émanant des autorités du du Royaume-Uni avait révélé en milieu de matinée que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois à noter que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
La valeur sûre du yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.61% pour se hisser à 98.45, après avoir plongé lundi jusqu'à 97.04, sa valeur la plus basse depuis décembre 2000.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus critiqué ce matin la flambée de la monnaie nippone, laissant ainsi entendre qu'une intervention destinée à lutter contre la spéculation était immiente, bien qu'il ait précisé que le Japon ne procèderait pas de la même manière que la Suisse.
La situation a d'ailleurs été différente pour le la monnaie helvétique, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2091.
Un rapport du centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué que l'indice des attentes économiques suisses était remonté à -50.1 ce mois-ci, contre -72 en décembre, réalisant du même coup son avancée la plus importante depuis avril 2011.
Elle demeurait encore proche de ses planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, profitant des rumeurs d'assouplissement monétaire de la Chine, l'EUR/AUD arrachant 0.26% pour progresser jusqu'à 1.2307 et l'EUR/NZD hoquetant de 0.07% pour se rétracter à 1.59.
Une étude avait auparavant signalé que l'humeur des consommateurs australiens n'avait rebondi que de 2.4% après avoir plongé de 8.3% le mois précédent, ce qui pourrait indiquer que la série de baisses des taux d'intérêt opérée en fin d'année dernière n'a guère amélioré les perspectives économiques.
Sa position était plus claire par rapport au dollar canadien, l'EUR/CAD raflant 0.42% pour monter à 1.2984.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.
En fin de première séance européenne, le billet vert fléchissait nettement devant lui, l'EUR/USD bondissant de 0.71% pour grimper à 1.2836.
La monnaie unique a encore gagné en popularité après qu'il ait été rapporté que le FMI tenterait de trouver un accord permettant d'augmenter le volume de ses capitaux depuis les 385 milliards d'USD actuels jusqu'à 1 billion lors de la réunion du groupe des 20 pays les plus développés devant se dérouler en fin de mois prochain.
Son blason s'était auparavant trouvé terni contre sa rivale britannique après que l'agence Fitch ait déclaré en début de journée que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans.
Ces précisions faisaient suite à la déclaration de la semaine passée, selon laquelle il y avait des chances "significatives" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier malgré sa notation A+ actuelle.
Elle a également fait céder du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.49% pour se hisser à 0.8346.
Un rapport émanant des autorités du du Royaume-Uni avait révélé en milieu de matinée que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois à noter que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
La valeur sûre du yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.61% pour se hisser à 98.45, après avoir plongé lundi jusqu'à 97.04, sa valeur la plus basse depuis décembre 2000.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus critiqué ce matin la flambée de la monnaie nippone, laissant ainsi entendre qu'une intervention destinée à lutter contre la spéculation était immiente, bien qu'il ait précisé que le Japon ne procèderait pas de la même manière que la Suisse.
La situation a d'ailleurs été différente pour le la monnaie helvétique, l'EUR/CHF trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.2091.
Un rapport du centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué que l'indice des attentes économiques suisses était remonté à -50.1 ce mois-ci, contre -72 en décembre, réalisant du même coup son avancée la plus importante depuis avril 2011.
Elle demeurait encore proche de ses planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, profitant des rumeurs d'assouplissement monétaire de la Chine, l'EUR/AUD arrachant 0.26% pour progresser jusqu'à 1.2307 et l'EUR/NZD hoquetant de 0.07% pour se rétracter à 1.59.
Une étude avait auparavant signalé que l'humeur des consommateurs australiens n'avait rebondi que de 2.4% après avoir plongé de 8.3% le mois précédent, ce qui pourrait indiquer que la série de baisses des taux d'intérêt opérée en fin d'année dernière n'a guère amélioré les perspectives économiques.
Sa position était plus claire par rapport au dollar canadien, l'EUR/CAD raflant 0.42% pour monter à 1.2984.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.