Investing.com - L'euro s'est retrouvé en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les bons chiffres des ventes américaines contribuant à soutenir le dollar U.S. bien que ses pertes demeurent limitées par l'espoir que les banques centrales prennent des mesures mettant fin au problème du surendettement régional.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2286.
Il avait été signalé hier que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, diminuant du même coup l'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
La popularité de la monnaie unique s'était d'autre part retrouvée fragilisée après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour glisser à 0.7836.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ici, publié ce matin, avait souligné que les membres de son conseil avaient voté tous les 9 en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Il était aussi à noter que les chiffres officiels avaient créé la surprise en annonçant qu'il y avait eu en juillet 5 900 personnes de moins à réclamer des allocations chômage au Royaume-Uni, et que la proportion nationale des demandeurs d'emploi était descendue à 8.1%.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY se rétractant de 0.09% pour reprendre pied à 96.91, mais a cependant pris le dessus contre le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.01% pour se hisser à 1.201.
Les planchers historiques par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.11% pour se situer à 1.1733, l'EUR/CAD chutant de 0.27% pour se retrouver à 1.2194 et l'EUR/NZD se contractant de 0.27% pour toucher le fond à 1.5255.
Il avait été révélé en début de matinée par la Westpac Banking Corporation que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Australie avait reculé de 2.5% pour août, malgré la réduction des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire nationale.
Une autre étude faisait par contre savoir que les salaires du pays avaient augmenté de 1% au second trimestre, dépassant ainsi les 0.8% espérés
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2286.
Il avait été signalé hier que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, diminuant du même coup l'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
La popularité de la monnaie unique s'était d'autre part retrouvée fragilisée après qu'il ait été montré hier que le produit intérieur brut de la zone euro avait subi un recul de 0.2% entre avril et juin.
L'atmosphère continuait toutefois d'être modérément ragaillardie par l'idée selon laquelle les récentes preuves de ralentissement économique pousseraient les principales banques centrales de la planète à procéder à des accomodements afin de donner un coup de fouet à la relance.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour glisser à 0.7836.
Le compte-rendu de la réunion de la Banque d'Angleterre de ce mois-ici, publié ce matin, avait souligné que les membres de son conseil avaient voté tous les 9 en faveur du maintien de son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP.
Il était aussi à noter que les chiffres officiels avaient créé la surprise en annonçant qu'il y avait eu en juillet 5 900 personnes de moins à réclamer des allocations chômage au Royaume-Uni, et que la proportion nationale des demandeurs d'emploi était descendue à 8.1%.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY se rétractant de 0.09% pour reprendre pied à 96.91, mais a cependant pris le dessus contre le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.01% pour se hisser à 1.201.
Les planchers historiques par rapport à ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.11% pour se situer à 1.1733, l'EUR/CAD chutant de 0.27% pour se retrouver à 1.2194 et l'EUR/NZD se contractant de 0.27% pour toucher le fond à 1.5255.
Il avait été révélé en début de matinée par la Westpac Banking Corporation que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Australie avait reculé de 2.5% pour août, malgré la réduction des taux d'intérêt de la Réserve Bancaire nationale.
Une autre étude faisait par contre savoir que les salaires du pays avaient augmenté de 1% au second trimestre, dépassant ainsi les 0.8% espérés
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur évolution des prix à la consommation, leur production industrielle, ainsi qu'une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.