Investing.com - L'euro a pris le dessus sur la livre sterling ce lundi, après que des résultats officiels aient montré que les ventes au détail de la zone euro avaient augmenté dde manière inespérée en janvier, mais sa progression avait des chances de rester limitée sur fond de craintes pour la restructuration de la dette grecque.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8353 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8346, avançant de 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8313, son plancher de presque deux semaines datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8382, son plafond du premier mars.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait fait savoir que les ventes aux particuliers avaient connu en janvier leur premiers progrès en cinq mois, avec 0.3% après ajustement, alors qu'un recul de 0.1% était redouté.
Une autre étude signalait pour sa part que l'activité du secteur tertiaire de la région avait davantage reculé en février que redouté, diminuant pour le cinquième mois sur les six derniers.
Il avait aussi été montré que la confiance des investisseurs pour mars dans la zone euro avait moins progressé qu'espéré, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La devise européenne restait sur la sellette en attendant la date butoir du 8 mars avant laquelle les détenteurs d'obligations hellènes pourront se joindre à la substitution des bons du trésor qu'ils détiennent contre d'autres.
En cas d'échec de l'opération, le pays se retrouverait à nouveau au bord d'un défaut de paiement catastrophique.
Le dollar U.S. lui a mieux résisté, l'EUR/USD n'arrachant que 0.1% pour se hisser à 1.3199, et le yen l'a carrément dominée, l'EUR/JPY plongeant de 0.74% pour tomber à 107.17.
Un rapport avait montré ce matin que le domaine des services britanniques avait progressé en février, même si c'était à un rythme inférieur aux attentes, alimentant l'espoir que le pays évite de retomber en récession au premier trimestre.
L'indice des directeurs des achats tertiaires établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS a en effet reculé de 2.2 points en février, se retrouvant à 53.8 contre 56.0 le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer sous les 55 pour la période considérée.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8353 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8346, avançant de 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8313, son plancher de presque deux semaines datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8382, son plafond du premier mars.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait fait savoir que les ventes aux particuliers avaient connu en janvier leur premiers progrès en cinq mois, avec 0.3% après ajustement, alors qu'un recul de 0.1% était redouté.
Une autre étude signalait pour sa part que l'activité du secteur tertiaire de la région avait davantage reculé en février que redouté, diminuant pour le cinquième mois sur les six derniers.
Il avait aussi été montré que la confiance des investisseurs pour mars dans la zone euro avait moins progressé qu'espéré, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La devise européenne restait sur la sellette en attendant la date butoir du 8 mars avant laquelle les détenteurs d'obligations hellènes pourront se joindre à la substitution des bons du trésor qu'ils détiennent contre d'autres.
En cas d'échec de l'opération, le pays se retrouverait à nouveau au bord d'un défaut de paiement catastrophique.
Le dollar U.S. lui a mieux résisté, l'EUR/USD n'arrachant que 0.1% pour se hisser à 1.3199, et le yen l'a carrément dominée, l'EUR/JPY plongeant de 0.74% pour tomber à 107.17.
Un rapport avait montré ce matin que le domaine des services britanniques avait progressé en février, même si c'était à un rythme inférieur aux attentes, alimentant l'espoir que le pays évite de retomber en récession au premier trimestre.
L'indice des directeurs des achats tertiaires établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS a en effet reculé de 2.2 points en février, se retrouvant à 53.8 contre 56.0 le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer sous les 55 pour la période considérée.