Investing.com - L'euro s'est renforcé face à la plupart de ses concurrents, et notamment le dollar U.S. ce mardi, les piètres performances américaines ayant augmenté les chances d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale, tandis que les investisseurs guettaient aussi le déroulement de la réunion de la Banque Centrale Européenne de jeudi.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a ainsi fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.08% pour se hisser à 1.2586.
Le blason de celui-ci s'était retrouvé terni hier, après qu'il ait été annoncé que l'activité secondaire américaine avait régressé pour la première fois depuis juillet 2009, alimentant les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une croissance à la dérive.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet indiqué que son indice était tombé de 53.5 à 49.7 pour juin.
Le cap que prendra la BCE jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement des taux destiné à relancer l'expansion économique de la région.
Il avait été souligné lundi que son taux de chômage avait établi un nouveau record en mai, et que son secteur manufacturier était resté en nette contraction en juin.
La livre sterling a elle aussi cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.16% pour monter à 0.8024.
Il avait auparavant été montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait connu en juin sa plus forte diminution en deux ans et demi, la production et les nouvelles commandes ayant fait défaut.
Cette déception a encore conforté l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre mettrait en place de nouvelles injections de capitaux lors de sa réunion de jeudi, après qu'il ait déjà été montré hier que le secteur secondaire national avait subi en juin son second mois de recul d'affilée.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.49% pour grimper à 100.47, mais le franc suisse y a nettement mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.01% pour frémir à 1.2013.
Ses homologues australienne et canadienne ont cependant exercé leur domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD trébuchant de 0.08% pour glisser à 1.226, l'EUR/CAD chutant de 0.14% vers 1.2771 et l'EUR/NZD raflant 0.08% pour culminer à 1.5662.
La première n'a guère fait cas du maintien sans surprise ce matin du taux directeur de la Réserve Bancaire d'Australie à 3.5%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a ainsi fléchi devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.08% pour se hisser à 1.2586.
Le blason de celui-ci s'était retrouvé terni hier, après qu'il ait été annoncé que l'activité secondaire américaine avait régressé pour la première fois depuis juillet 2009, alimentant les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une croissance à la dérive.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet indiqué que son indice était tombé de 53.5 à 49.7 pour juin.
Le cap que prendra la BCE jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement des taux destiné à relancer l'expansion économique de la région.
Il avait été souligné lundi que son taux de chômage avait établi un nouveau record en mai, et que son secteur manufacturier était resté en nette contraction en juin.
La livre sterling a elle aussi cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.16% pour monter à 0.8024.
Il avait auparavant été montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait connu en juin sa plus forte diminution en deux ans et demi, la production et les nouvelles commandes ayant fait défaut.
Cette déception a encore conforté l'hypothèse selon laquelle la Banque d'Angleterre mettrait en place de nouvelles injections de capitaux lors de sa réunion de jeudi, après qu'il ait déjà été montré hier que le secteur secondaire national avait subi en juin son second mois de recul d'affilée.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.49% pour grimper à 100.47, mais le franc suisse y a nettement mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.01% pour frémir à 1.2013.
Ses homologues australienne et canadienne ont cependant exercé leur domination, mais pas la néo-zélandaise, l'EUR/AUD trébuchant de 0.08% pour glisser à 1.226, l'EUR/CAD chutant de 0.14% vers 1.2771 et l'EUR/NZD raflant 0.08% pour culminer à 1.5662.
La première n'a guère fait cas du maintien sans surprise ce matin du taux directeur de la Réserve Bancaire d'Australie à 3.5%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.