Investing.com - La monnaie unique était mitigée face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les investisseurs demeurant nerveux après que la réunion des ministres des finances de la zone euro n'ait pas réussi à les rassurer quand à leur capacité à résoudre le problème du surendettement régional.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.2% pour descendre à 1.3286.
Les ministres des finances se sont mis d'accord hier pour augmenter le fonds de sauvetage de la région, précisant toutefois que sa capacité à porter secours aux nations en difficulté ne serait pas aussi importante qu'espéré au début.
Les rumeurs de plan de sauvetage pour l'Italie allaient bon train de leur côté, après que des représentants éminents de la zone euro et du Fonds Monétaire International aient fait savoir dans la soirée d'hier que les négociations portant sur une somme de 400 milliards d'euros pourraient commencer le mois prochain.
Une étude officielle avait pour sa part signalé ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la zone euro s'était maintenue en novembre à 3% pour le troisième mois d'affilée, laissant à penser que la Banque Centrale Européenne devrait peut-être se retenir de diminuer ses taux au cours des prochains mois.
Une autre avait quand à elle mis en évidence un regain du taux de chômage, passant de 10.2% en septembre contre 10.3% le mois dernier.
Elle a toutefois fait céder du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.09% pour se hisser à 0.8543.
Un rapport du groupe de recherches économiques Gfk avait d'autre part montré aujourd'hui que la confiance des consommateurs britanniques avait légèrement progressé ce mois-ci, demeurant cependant proche d'un creux des deux dernières années, avec des perspectives moroses.
Cette nouvelle survenait au lendemain de l'annonce par George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du Royaume-Uni, selon laquelle l'économie devrait croître de seulement 0.7% en 2012, contre les 2.5% sur lesquels avait été établi le budget de mars.
Elle a d'autre part fait subir sa pression au yen et au franc suisse, l'EUR/JPY grignotant 0.03% pour se retrouver à 103.77 et l'EUR/CHF prenant 0.2% pour monter à 1.2285.
L'agence de recherches économiques KOF avait signalé ce matin que son baromètre économique helvétique avait établi un nouveau plancher à 0.35 pour ce mois-ci, contre 0.75 pour le précédent, mettant en évidence une perte de vitesse de la croissance économique.
Kiyohiko Nishimura, gouverneur adjoint de la Banque du Japon, a affirmé de son côté que les décideurs nationaux devaient effectuer des actions radicales sur le marché des changes au cas où les évolutions du marché devaient aller à l'encontre des fondements de l'économie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'EUR/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.3719, l'EUR/AUD raflant 0.03% pour se hisser à 1.3316 et l'EUR/NZD se laissant saper 0.02% pour toucher le fond à 1.7488.
Un rapport australien indiquait que les investissements de capitaux privés avaient augmenté de manière supérieure aux espérances au troisième trimestre, bondissant de 12.3% et améliorant les 6.2% déjà constatés lors du second, et un autre que le nombre des permis de construire délivrés par les autorités néo-zélandaises avait rebondi en octobre, après s'être effondré au cours du mois précédent.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la publication du rapport très attendu de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'état du marché de l'emploi, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago et le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.2% pour descendre à 1.3286.
Les ministres des finances se sont mis d'accord hier pour augmenter le fonds de sauvetage de la région, précisant toutefois que sa capacité à porter secours aux nations en difficulté ne serait pas aussi importante qu'espéré au début.
Les rumeurs de plan de sauvetage pour l'Italie allaient bon train de leur côté, après que des représentants éminents de la zone euro et du Fonds Monétaire International aient fait savoir dans la soirée d'hier que les négociations portant sur une somme de 400 milliards d'euros pourraient commencer le mois prochain.
Une étude officielle avait pour sa part signalé ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la zone euro s'était maintenue en novembre à 3% pour le troisième mois d'affilée, laissant à penser que la Banque Centrale Européenne devrait peut-être se retenir de diminuer ses taux au cours des prochains mois.
Une autre avait quand à elle mis en évidence un regain du taux de chômage, passant de 10.2% en septembre contre 10.3% le mois dernier.
Elle a toutefois fait céder du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.09% pour se hisser à 0.8543.
Un rapport du groupe de recherches économiques Gfk avait d'autre part montré aujourd'hui que la confiance des consommateurs britanniques avait légèrement progressé ce mois-ci, demeurant cependant proche d'un creux des deux dernières années, avec des perspectives moroses.
Cette nouvelle survenait au lendemain de l'annonce par George Osborne, chancelier de l'échiquier et chargé des finances du Royaume-Uni, selon laquelle l'économie devrait croître de seulement 0.7% en 2012, contre les 2.5% sur lesquels avait été établi le budget de mars.
Elle a d'autre part fait subir sa pression au yen et au franc suisse, l'EUR/JPY grignotant 0.03% pour se retrouver à 103.77 et l'EUR/CHF prenant 0.2% pour monter à 1.2285.
L'agence de recherches économiques KOF avait signalé ce matin que son baromètre économique helvétique avait établi un nouveau plancher à 0.35 pour ce mois-ci, contre 0.75 pour le précédent, mettant en évidence une perte de vitesse de la croissance économique.
Kiyohiko Nishimura, gouverneur adjoint de la Banque du Japon, a affirmé de son côté que les décideurs nationaux devaient effectuer des actions radicales sur le marché des changes au cas où les évolutions du marché devaient aller à l'encontre des fondements de l'économie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'EUR/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.3719, l'EUR/AUD raflant 0.03% pour se hisser à 1.3316 et l'EUR/NZD se laissant saper 0.02% pour toucher le fond à 1.7488.
Un rapport australien indiquait que les investissements de capitaux privés avaient augmenté de manière supérieure aux espérances au troisième trimestre, bondissant de 12.3% et améliorant les 6.2% déjà constatés lors du second, et un autre que le nombre des permis de construire délivrés par les autorités néo-zélandaises avait rebondi en octobre, après s'être effondré au cours du mois précédent.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la publication du rapport très attendu de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'état du marché de l'emploi, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Chicago et le nombre des ventes de logements en cours.