Investing.com - L'euro était en forme, notamment face au dollar U.S. et au yen à l'approche des résultats de la réunion cruciale de la Banque Centrale Européenne, mais la peur d'une déception des espoirs d'interventions destinées à endiguer le problème du surendettement régional étouffait toute idée de poussée de fièvre.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.38% pour se hisser à 1.2271.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que l'Espagne ait écoulé à la mi-journée pour 3.13 milliards d'euros en bons du trésor, au sommet de la fourchette visée, subissant toutefois des coûts en hausse en raison de l'affaiblissement de leur attractivité.
Elle a notamment émis pour 1.05 milliards d'euros sur dix ans à un taux moyen de 6.64%, dépassant légèrement les 6.43% du mois dernier.
Mais aucune flambée n'était à l'ordre du jour, dans la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'était intensifiée après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à préserver la devise européenne par tous les moyens nécessaires.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.27% pour grimper à 0.7891.
Concernant le Royaume-Uni, l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS, signalait une retour aux affaires, montant de 48.2 vers 50.9, pour juillet, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 48.
Il avait déjà été révélé hier que le secteur manufacturier britannique avait subi en juillet son pire revers en trois ans, alimentant l'espoir de nouveaux accomodements de la part de la Banque d'Angleterre dans les mois à venir.
Celle-ci avait toutefois peu de chances d'annoncer des changements majeurs de son taux d'intérêt ou de son programme d'acquisitions d'actifs lors de la rencontre mensuelle des membres de son comité directeur prévue aujourd'hui.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY grignotant 0.1% pour se hisser à 95.97, mais le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF se maintenant à 1.2016.
Le gouvernement suisse avait auparavant fait savoir que les ventes au détail avaient bondi de 3.7% en juin, pulvérisant les 2.8% espérés, mais il était aussi à noter que l'indice manufacturier SVME du pays s'était d'autre part élevé sans prévenir en juillet, tout en demeurant en territoire négatif pour le quatrième mois d'affilée.
Les planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et canadienne demeuraient proches, tandis qu'un nouveau se trouvait établi contre la néo-zélandaise, l'EUR/AUD glissant de 0.14% vers 1.1672, l'EUR/CAD arrachant 0.12% pour s'élever à 1.2308 et l'EUR/NZD perdant 0.21% pour chuter à 1.5104.
Il avait été officiellement souligné en début de matinée que la balance commerciale de l'Australie avait dégagé sans crier gare un surplus de 10 millions d'AUD pour juin, après avoir subi 310 millions de déficit en mai.
Les ventes auprès des particuliers du pays avaient de leur côté réalisé une avancée inespérée de 1% sur la même période, prolongeant ainsi les 0.8% précédents, et surpassant les 0.6% envisagés.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.38% pour se hisser à 1.2271.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que l'Espagne ait écoulé à la mi-journée pour 3.13 milliards d'euros en bons du trésor, au sommet de la fourchette visée, subissant toutefois des coûts en hausse en raison de l'affaiblissement de leur attractivité.
Elle a notamment émis pour 1.05 milliards d'euros sur dix ans à un taux moyen de 6.64%, dépassant légèrement les 6.43% du mois dernier.
Mais aucune flambée n'était à l'ordre du jour, dans la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'était intensifiée après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à préserver la devise européenne par tous les moyens nécessaires.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.27% pour grimper à 0.7891.
Concernant le Royaume-Uni, l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS, signalait une retour aux affaires, montant de 48.2 vers 50.9, pour juillet, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 48.
Il avait déjà été révélé hier que le secteur manufacturier britannique avait subi en juillet son pire revers en trois ans, alimentant l'espoir de nouveaux accomodements de la part de la Banque d'Angleterre dans les mois à venir.
Celle-ci avait toutefois peu de chances d'annoncer des changements majeurs de son taux d'intérêt ou de son programme d'acquisitions d'actifs lors de la rencontre mensuelle des membres de son comité directeur prévue aujourd'hui.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY grignotant 0.1% pour se hisser à 95.97, mais le franc suisse lui a farouchement résisté, l'EUR/CHF se maintenant à 1.2016.
Le gouvernement suisse avait auparavant fait savoir que les ventes au détail avaient bondi de 3.7% en juin, pulvérisant les 2.8% espérés, mais il était aussi à noter que l'indice manufacturier SVME du pays s'était d'autre part élevé sans prévenir en juillet, tout en demeurant en territoire négatif pour le quatrième mois d'affilée.
Les planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et canadienne demeuraient proches, tandis qu'un nouveau se trouvait établi contre la néo-zélandaise, l'EUR/AUD glissant de 0.14% vers 1.1672, l'EUR/CAD arrachant 0.12% pour s'élever à 1.2308 et l'EUR/NZD perdant 0.21% pour chuter à 1.5104.
Il avait été officiellement souligné en début de matinée que la balance commerciale de l'Australie avait dégagé sans crier gare un surplus de 10 millions d'AUD pour juin, après avoir subi 310 millions de déficit en mai.
Les ventes auprès des particuliers du pays avaient de leur côté réalisé une avancée inespérée de 1% sur la même période, prolongeant ainsi les 0.8% précédents, et surpassant les 0.6% envisagés.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.