Investing.com - L'euro a vu diminuer ses gains sur le dollar U.S. et se trouvait en demi-teinte face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, sur fond de rumeurs de dégradation imminente de la France, tandis que l'épée de Damoclès de la crise de la dette de la zone euro demeurait suspendue.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. n'a presque plus fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.06% pour grimper à 1.3056 après un pic journaier à 1.3119.
Le volume des transactions devrait demeurer restreint au cours des fêtes de fin d'année, de nombreux courtiers liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année, réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant du même coup la volatilité, sur fond d'angoisse d'un rabaissement collectif des notations monétaire des états membres de la zone euro.
Les inquiétudes demeuraient vives à propos des effets potentiels de l'opération effectuée hier par la Banque Centrale Européenne, consistant à accorder 489.19 milliards d'euros en prêts triennaux afin d'éviter un assèchement de la pompe à liquidités dans la région.
L'ampleur inattendue la demande provenant de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise.
La monnaie unique n'a presque pas pris de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8325, et demeurant proche de son ornière des 11 derniers mois.
Une étude émanant du bureau national des statistiques britannique avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0.6% au troisième trimestre, dépassant ainsi les 0.5% espérés.
Il y était également indiqué que d'une année sur l'autre, le produit intérieur brut avait par contre été conforme aux attentes avec 0.5% d'augmentation, sans besoin de révision.
Le même organisme déplorait dans un autre rapport que le déficit du commerce extérieur s'était élargi jusqu'à 15.2 milliards de GBP sur la même période, s'élevant vers un pic jamais vu depuis la mise en place de la mesure en 1955, alors que des experts pensaient les voir se situer à 5.5 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.13% pour se retrouver à 101.98 et l'EUR/CHF prenant 0.14% pour monter à 1.2227.
La banque centrale japonaise avait fait savoir dans son bulletin mensuel que la reprise de l'économie nationale avait stagné, le moral des entreprises ayant décliné suite à la faiblesse de la demande de la part des pays étrangers.
Les autorités japonaises avaient rabaissé en début de matinée leurs prédictions pour le produit intérieur brut, passant d'une croissance de 0.5% à une contraction de 0.1%, invoquant les effets du renforcement du yen, ainsi que le problème du surendettement de l'Europe sur les exportations nippones.
La devise européenne a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 1.3378, l'EUR/AUD régressant de 0.2 0.3% pour tomber à 1.2887 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.18% pour toucher le fond à 1.6891.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que le PIB de la Nouvelle-Zélande avait raflé 0.8% au troisième trimestre, dépassant es 0.6% prévus, après n'avoir arraché que 0.1% n'ayant pas besoin d'être révisés lors du second.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34% pour se situer à 80.08.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait tenir aujourd'hui avec Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, un conférence de presse conjointe à Francfort après leur réunion avec le conseil européen sur le risque systémique.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. n'a presque plus fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.06% pour grimper à 1.3056 après un pic journaier à 1.3119.
Le volume des transactions devrait demeurer restreint au cours des fêtes de fin d'année, de nombreux courtiers liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année, réduisant ainsi le volume des capitaux disponibles et encourageant du même coup la volatilité, sur fond d'angoisse d'un rabaissement collectif des notations monétaire des états membres de la zone euro.
Les inquiétudes demeuraient vives à propos des effets potentiels de l'opération effectuée hier par la Banque Centrale Européenne, consistant à accorder 489.19 milliards d'euros en prêts triennaux afin d'éviter un assèchement de la pompe à liquidités dans la région.
L'ampleur inattendue la demande provenant de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise.
La monnaie unique n'a presque pas pris de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8325, et demeurant proche de son ornière des 11 derniers mois.
Une étude émanant du bureau national des statistiques britannique avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0.6% au troisième trimestre, dépassant ainsi les 0.5% espérés.
Il y était également indiqué que d'une année sur l'autre, le produit intérieur brut avait par contre été conforme aux attentes avec 0.5% d'augmentation, sans besoin de révision.
Le même organisme déplorait dans un autre rapport que le déficit du commerce extérieur s'était élargi jusqu'à 15.2 milliards de GBP sur la même période, s'élevant vers un pic jamais vu depuis la mise en place de la mesure en 1955, alors que des experts pensaient les voir se situer à 5.5 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'EUR/JPY gagnant 0.13% pour se retrouver à 101.98 et l'EUR/CHF prenant 0.14% pour monter à 1.2227.
La banque centrale japonaise avait fait savoir dans son bulletin mensuel que la reprise de l'économie nationale avait stagné, le moral des entreprises ayant décliné suite à la faiblesse de la demande de la part des pays étrangers.
Les autorités japonaises avaient rabaissé en début de matinée leurs prédictions pour le produit intérieur brut, passant d'une croissance de 0.5% à une contraction de 0.1%, invoquant les effets du renforcement du yen, ainsi que le problème du surendettement de l'Europe sur les exportations nippones.
La devise européenne a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 1.3378, l'EUR/AUD régressant de 0.2 0.3% pour tomber à 1.2887 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.18% pour toucher le fond à 1.6891.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que le PIB de la Nouvelle-Zélande avait raflé 0.8% au troisième trimestre, dépassant es 0.6% prévus, après n'avoir arraché que 0.1% n'ayant pas besoin d'être révisés lors du second.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34% pour se situer à 80.08.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait tenir aujourd'hui avec Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, un conférence de presse conjointe à Francfort après leur réunion avec le conseil européen sur le risque systémique.