Investing.com - L'euro a vu ses gains rabotés face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après qu'il ait officiellement été montré que l'économie de la zone euro avait subi une régression au second trimestre, mais ce faux pas demeurait limité par l'espoir que les principales banques centrales de la planète prennent des initiatives pour donner un coup de fouet à la croissance.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait toujours devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour se hisser à 1.2361, après avoir caracolé à 1.2386.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, entraînant une contraction de 0.4% d'une année sur l'autre.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du premier trimestre.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
Une autre étude soulignait par contre que la production industrielle de la zone euro avait dérapé de 0.6% en juin, donc à peine moins que les 0.7% qui étaient craints.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.12% pour se hisser à 0.7871.
Les autorités britanniques ont d'autre part fait savoir que l'inflation à la consommation nationale avait connu en juin une hausse inattendue, étouffant du même coup les espoirs d'accomodements monétaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les prix au détail avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Le yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY bondissant de 0.53% pour s'élever à 97.08, après avoir cependant culminé à 97.31.
Le procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Banque du Japon avait montré en début de matinée que les membres de son conseil n'excluaient aucune option pour renforcer la relance, et notamment pas des assouplissements monétaires.
Le franc suisse a par contre bien résisté, l'EUR/CHF se maintenannt à 1.201.
Le gouvernement helvètes avait précédemment souligné que les coûts de production nationaux avaient connu en juillet une baisse de 0.3%, au lieu des 0.2% envisagés.
La monnaie unique s'est accrochée à son emprise sur ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD grignotant 0.11% pour monter à 1.1735, l'EUR/CAD avançant de 0.24% pour se situer à 1.2271 et l'EUR/NZD raflant 0.16% pour se stabiliser à 1.5267.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient signalé en début de matinée que les ventes auprès des particuliers avaient largement dépassé les prévisions pour le second trimestre, engrangeant 1.5%, soit plus du double des 0.7% prédits.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail et les variations dans leurs coûts de production.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait toujours devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour se hisser à 1.2361, après avoir caracolé à 1.2386.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, entraînant une contraction de 0.4% d'une année sur l'autre.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du premier trimestre.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
Une autre étude soulignait par contre que la production industrielle de la zone euro avait dérapé de 0.6% en juin, donc à peine moins que les 0.7% qui étaient craints.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.12% pour se hisser à 0.7871.
Les autorités britanniques ont d'autre part fait savoir que l'inflation à la consommation nationale avait connu en juin une hausse inattendue, étouffant du même coup les espoirs d'accomodements monétaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les prix au détail avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Le yen a aussi subi sa pression, l'EUR/JPY bondissant de 0.53% pour s'élever à 97.08, après avoir cependant culminé à 97.31.
Le procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Banque du Japon avait montré en début de matinée que les membres de son conseil n'excluaient aucune option pour renforcer la relance, et notamment pas des assouplissements monétaires.
Le franc suisse a par contre bien résisté, l'EUR/CHF se maintenannt à 1.201.
Le gouvernement helvètes avait précédemment souligné que les coûts de production nationaux avaient connu en juillet une baisse de 0.3%, au lieu des 0.2% envisagés.
La monnaie unique s'est accrochée à son emprise sur ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD grignotant 0.11% pour monter à 1.1735, l'EUR/CAD avançant de 0.24% pour se situer à 1.2271 et l'EUR/NZD raflant 0.16% pour se stabiliser à 1.5267.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient signalé en début de matinée que les ventes auprès des particuliers avaient largement dépassé les prévisions pour le second trimestre, engrangeant 1.5%, soit plus du double des 0.7% prédits.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail et les variations dans leurs coûts de production.