Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses ocncurrents ce mercredi après-midi, sur fond de soulagement suite à la confirmation de l'appréciation attribuée par l'agence Moody's aux dettes de l'Espagne, dont il se disait qu'elle était de plus en plus proche d'un appel à l'aide.
En début de seconde partie de séance européenne, il a en effet fait fléchir le dollar U.S. pour atteindre un pic mensuel, l'EUR/USD engrangeant 0.56% pour se hisser à 1.3126.
L'agence a en effet confirmé le Baa3 espagnol avec une perspective négative, à seulement un cran au-dessus des valeurs spéculatives, exprimant toutefois sa confiance dans le fait que les réformes mises en place par le gouvernement et le soutien de ses partenaires de la zone euro devraient lui maintenir l'accès aux marchés financiers.
Le taux des obligations décennales nationales est du coup tombé à 5.53% après diffusion de la nouvelle, son plus bas niveau depuis avril.
La monnaie unique avait déjà été tirée vers le haut ces dernières semaines par l'espoir que Madrid ait incessament recours à la bouée de sauvetage qui lui est offerte, mais les inconnues concernant le moment où elle serait déclenchée et de la forme qu'elle prendrait persistaient.
Il en a été de même avec la livre sterling, avec un pic de quatre mois en vue, l'EUR/GBP prenant 0.17% pour grimper à 0.8115.
La devise de la Grande-Bretagne a toutefois sauvé les meubles après que le bureau national des statistiques ait dénombré 4 000 demandeurs d'emploi inscrits de moins pour septembre au Royaume-Uni, au lieu des 1 000 espérés, faisant chuter le taux de chômage sans crier gare de 8.1 vers 7.9% dans le même temps.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre a quand à lui mentionné le fait que les neuf membres de son conseil d'orientation avaient unanimement voté en faveur du maintien d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP et d'un taux de base de 0.5%, sa plus faible valeur historique.
Il y était cependant précisé que des désaccords avaient émergé concernant l'éventuel besoin de prolonger le programme de rachat de bons du trésor après son expiration en fin de mois.
Le yen et le franc suisse ont également subi la pression de leur pendant européen, l'EUR/JPY gagnant 0.25% pour s'établir à 103.22 et l'EUR/CHF avançant de 0.14% pour s'élever à 1.2104.
Le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part souligné dans la matinée que l'indice des attentes économiques helvètes était remonté depuis -34.9 vers -28.9 pour septembre.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs échappé à sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD trébuchant de 0.09% pour descendre à 1.2691, l'EUR/CAD progressant de 0.28% vers 1.2914 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.12% pour toucher le fond à 1.6012.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, ainsi qu'avec celui des lancements de constructions.
En début de seconde partie de séance européenne, il a en effet fait fléchir le dollar U.S. pour atteindre un pic mensuel, l'EUR/USD engrangeant 0.56% pour se hisser à 1.3126.
L'agence a en effet confirmé le Baa3 espagnol avec une perspective négative, à seulement un cran au-dessus des valeurs spéculatives, exprimant toutefois sa confiance dans le fait que les réformes mises en place par le gouvernement et le soutien de ses partenaires de la zone euro devraient lui maintenir l'accès aux marchés financiers.
Le taux des obligations décennales nationales est du coup tombé à 5.53% après diffusion de la nouvelle, son plus bas niveau depuis avril.
La monnaie unique avait déjà été tirée vers le haut ces dernières semaines par l'espoir que Madrid ait incessament recours à la bouée de sauvetage qui lui est offerte, mais les inconnues concernant le moment où elle serait déclenchée et de la forme qu'elle prendrait persistaient.
Il en a été de même avec la livre sterling, avec un pic de quatre mois en vue, l'EUR/GBP prenant 0.17% pour grimper à 0.8115.
La devise de la Grande-Bretagne a toutefois sauvé les meubles après que le bureau national des statistiques ait dénombré 4 000 demandeurs d'emploi inscrits de moins pour septembre au Royaume-Uni, au lieu des 1 000 espérés, faisant chuter le taux de chômage sans crier gare de 8.1 vers 7.9% dans le même temps.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre a quand à lui mentionné le fait que les neuf membres de son conseil d'orientation avaient unanimement voté en faveur du maintien d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP et d'un taux de base de 0.5%, sa plus faible valeur historique.
Il y était cependant précisé que des désaccords avaient émergé concernant l'éventuel besoin de prolonger le programme de rachat de bons du trésor après son expiration en fin de mois.
Le yen et le franc suisse ont également subi la pression de leur pendant européen, l'EUR/JPY gagnant 0.25% pour s'établir à 103.22 et l'EUR/CHF avançant de 0.14% pour s'élever à 1.2104.
Le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part souligné dans la matinée que l'indice des attentes économiques helvètes était remonté depuis -34.9 vers -28.9 pour septembre.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs échappé à sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD trébuchant de 0.09% pour descendre à 1.2691, l'EUR/CAD progressant de 0.28% vers 1.2914 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.12% pour toucher le fond à 1.6012.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, ainsi qu'avec celui des lancements de constructions.