Investing.com - L'euro a connu un regain de forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, l'adjudication de dettes nationales de l'Italie ayant rencontré une demande solide de la part des investisseurs.
En seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant elle, avec un couple EUR/USD gagnant 0.5% pour se hisser à 1.235.
Rome a en effet vu le coûts de ses emprunts décennaux n'augmenter que légèrement après avoir émis pour 8 milliards d'euros en bons du trésor à 12 mois, à un taux moyen de 1.69%, au lieu des 1.55% précédents.
Il était d'autre part à noter que les autorités de la Grèce avaient annoncé à la mi-journée que l'économie du pays avait moins reculé au second trimestre qu'il n'avait été craint.
Le produit intérieur brut national a en effet dérapé de 6.2% d'avril à juin, au lieu des 7% redoutés, soit légèrement moins que les 6.5% constatés sur les trois premiers mois de l'année.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.43% pour grimper à 0.7867.
Le blason de cette dernière se trouvait terni par la crainte que de médiocres performances britanniques pouvant être dévoilées dans la semaine ne poussent la Banque d'Angleterre à procéder à davantage d'accomodements afin de donner un coup de fouet à la croissance.
Le yen n'y a pas davantage échappé, l'EUR/JPY raflant 0.56% pour se hisser à 96.68.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que l'économie japonaise avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Le franc suisse a par contre bien résisté à sa pression, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour se hisser à 1.201.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise se sont elles aussi retrouvées dominées, l'EUR/AUD bondissant de 0.61% pour s'établir à 1.1687, l'EUR/CAD s'élevant de 0.54% pour se placer à 1.224 et l'EUR/NZD engrangeant 0.66% pour culminer à 1.5196.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer faible et l'ambiance calme, en l'absence de résultats économiques majeurs dans l'immédiat, sans oublier que nombre d'opérateurs se trouvaient encore en vacances d'été.
En seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi devant elle, avec un couple EUR/USD gagnant 0.5% pour se hisser à 1.235.
Rome a en effet vu le coûts de ses emprunts décennaux n'augmenter que légèrement après avoir émis pour 8 milliards d'euros en bons du trésor à 12 mois, à un taux moyen de 1.69%, au lieu des 1.55% précédents.
Il était d'autre part à noter que les autorités de la Grèce avaient annoncé à la mi-journée que l'économie du pays avait moins reculé au second trimestre qu'il n'avait été craint.
Le produit intérieur brut national a en effet dérapé de 6.2% d'avril à juin, au lieu des 7% redoutés, soit légèrement moins que les 6.5% constatés sur les trois premiers mois de l'année.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.43% pour grimper à 0.7867.
Le blason de cette dernière se trouvait terni par la crainte que de médiocres performances britanniques pouvant être dévoilées dans la semaine ne poussent la Banque d'Angleterre à procéder à davantage d'accomodements afin de donner un coup de fouet à la croissance.
Le yen n'y a pas davantage échappé, l'EUR/JPY raflant 0.56% pour se hisser à 96.68.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que l'économie japonaise avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Le franc suisse a par contre bien résisté à sa pression, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour se hisser à 1.201.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise se sont elles aussi retrouvées dominées, l'EUR/AUD bondissant de 0.61% pour s'établir à 1.1687, l'EUR/CAD s'élevant de 0.54% pour se placer à 1.224 et l'EUR/NZD engrangeant 0.66% pour culminer à 1.5196.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer faible et l'ambiance calme, en l'absence de résultats économiques majeurs dans l'immédiat, sans oublier que nombre d'opérateurs se trouvaient encore en vacances d'été.