Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. et au yen ce jeudi, mais il restait toutefois freiné par des perspectives économiques peu réjouissantes pour la zone euro, compensant un baromètre des affaires allemand dépassant les espérances.
En fin de première partie de séance, la dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD prenant 0.37% pour grimper à 1.3299.
L'enthousiasme pour la monnaie unique était en effet revenu après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait annoncé que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne s'était élevé à 109.6 avec ajustement saisonnier pour février, contre 108.3 pour le mois précédent, et dépassant les 108.8 espérés.
Ce résultat laissait espérer que la plus grosse économie de la zone euro encaissait l'impact de la crise de la dette régionale, et qu'elle pourrait même éviter de tomber en récession.
Mais les investisseurs demeuraient prudents après que les prévisions de la Commission Européenne aient montré que l'économie de la zone euro subirait, comme prévu, un recul de 0.3% au premier trimestre 2012, après avoir déjà subi un recul de la même importance au dernier trimestre 2011, deux trimestres négatifs d'affilée constituant une récession.
L'angoisse concernant la capacité de la Grèce à appliquer les mesures de rigueur liées au plan de sauvetage à 130 milliards d'euros et ainsi éviter un défaut de paiement demeurait aussi présente, décourageant toute audace.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'UR/GBP gagnant 0.3% pour se hisser à 0.8461.
La confédération des entreprises britanniques CBI a pour sa part déclaré que les commandes auprès des usines avaient rebondi pour se hisser en février à leur plus haut niveau en six mois, leur indice prenant 13 points pour se redresser à -3, contre -16 précédemment.
Mais la devise de la Grande-Bretagne demeurait boudée suite au compte-rendu de la banque centrale du Royaume-Uni, montrant que deux membres du conseil étaient en faveur d'une augmentation plus importante du programme d'achats d'actifs mis en place ce mois-ci, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements en cours d'année.
Le yen, largement affaibli, s'est par ailleurs rapproché d'une ornière des trois derniers mois, l'EUR/JPY avançant de 0.17% pour monter à 106.56.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait déclaré en début de matinée souhaiter avoir des entretiens personnels avec le gouverneur de la Banque du Japon plus souvent, et renforcer la collaboration avec cette dernière.
Ces propos survenaient alors que celle-ci avait décidé la semaine dernière d'augmenter la taille de son programme d'achats d'actifs jusqu'à 30 billions de JPY, faisant largement plonger la monnaie du pays.
Le franc suisse a toutefois fait mieux que résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.04% pour glisser à 1.2053.
Ses homologues australien et néo-zélandais lui ont repris du terrain, mais les planchers historiques récemment établis demeuraient isols par d'autres paliers, l'EUR/AUD laissant échapper 0.2% pour se retrouver à 1.243, et l'EUR/NZD dérapant de 0.13% pour reprendre pied à 1.5958.
Il n'en a pas été de même par rapport au dollar canadien, l'EUR/CAD arrachant 0.14% pour s'élever à 1.3266.
Les autorités des Etats-Unis devaient rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance, la dollar U.S. fléchissait devant lui, l'EUR/USD prenant 0.37% pour grimper à 1.3299.
L'enthousiasme pour la monnaie unique était en effet revenu après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait annoncé que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne s'était élevé à 109.6 avec ajustement saisonnier pour février, contre 108.3 pour le mois précédent, et dépassant les 108.8 espérés.
Ce résultat laissait espérer que la plus grosse économie de la zone euro encaissait l'impact de la crise de la dette régionale, et qu'elle pourrait même éviter de tomber en récession.
Mais les investisseurs demeuraient prudents après que les prévisions de la Commission Européenne aient montré que l'économie de la zone euro subirait, comme prévu, un recul de 0.3% au premier trimestre 2012, après avoir déjà subi un recul de la même importance au dernier trimestre 2011, deux trimestres négatifs d'affilée constituant une récession.
L'angoisse concernant la capacité de la Grèce à appliquer les mesures de rigueur liées au plan de sauvetage à 130 milliards d'euros et ainsi éviter un défaut de paiement demeurait aussi présente, décourageant toute audace.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'UR/GBP gagnant 0.3% pour se hisser à 0.8461.
La confédération des entreprises britanniques CBI a pour sa part déclaré que les commandes auprès des usines avaient rebondi pour se hisser en février à leur plus haut niveau en six mois, leur indice prenant 13 points pour se redresser à -3, contre -16 précédemment.
Mais la devise de la Grande-Bretagne demeurait boudée suite au compte-rendu de la banque centrale du Royaume-Uni, montrant que deux membres du conseil étaient en faveur d'une augmentation plus importante du programme d'achats d'actifs mis en place ce mois-ci, alimentant les rumeurs de nouveaux assouplissements en cours d'année.
Le yen, largement affaibli, s'est par ailleurs rapproché d'une ornière des trois derniers mois, l'EUR/JPY avançant de 0.17% pour monter à 106.56.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait déclaré en début de matinée souhaiter avoir des entretiens personnels avec le gouverneur de la Banque du Japon plus souvent, et renforcer la collaboration avec cette dernière.
Ces propos survenaient alors que celle-ci avait décidé la semaine dernière d'augmenter la taille de son programme d'achats d'actifs jusqu'à 30 billions de JPY, faisant largement plonger la monnaie du pays.
Le franc suisse a toutefois fait mieux que résister, l'EUR/CHF trébuchant de 0.04% pour glisser à 1.2053.
Ses homologues australien et néo-zélandais lui ont repris du terrain, mais les planchers historiques récemment établis demeuraient isols par d'autres paliers, l'EUR/AUD laissant échapper 0.2% pour se retrouver à 1.243, et l'EUR/NZD dérapant de 0.13% pour reprendre pied à 1.5958.
Il n'en a pas été de même par rapport au dollar canadien, l'EUR/CAD arrachant 0.14% pour s'élever à 1.3266.
Les autorités des Etats-Unis devaient rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.