Investing.com - L'euro s'est retrouvé en berne après avoir pourtant bien commencé ce lundi, les autorités germaniques ayant déclaré n'être au courant d'aucun plan de la Banque Centrale Européenne concernant les taux des emprunts des membres périphériques du bloc.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2323.
La monnaie unique a en effet courbé l'échine après qu'un porte-parole du ministère des finances de l'Allemagne ait assuré n'être au courant d'aucun plan de la BCE concernant les coûts des dettes régionales, les médias ayant pourtant affirmé qu'elle pourrait y mettre un frein.
Le magazine germanique Der Spiegel avait en effet rapporté dimanche qu'il serait possible qu'elle établisse en septembre, lors de la prochaine rencontre de ses décideurs, un seuil pour les rapports des bons du trésor de la région, en s'engageant en cas de dépassement à en acquérir des quantités illimitées.
Mais celle-ci s'est refusée à tout commentaire sur la question.
Les observateurs restaient dans l'expectative d'une série de rencontres entre les dirigeants de la zone euro, dont d'éventuelles mesures de lutte contre la crise de la dette du bloc seraient le point central.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, est en effet attendu mercredi à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme de réformes fiscales.
Tous les yeux seront tournés Mercredi prochain vers la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
Les bonnes performances des Etats-Unis dévoilées la semaine dernière avaient déjà laissé entrevoir une stabilisation de l'économie nationale, tempérant l'espoir d'injections de capitaux par leur banque centrale.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.1% pour tomber à 0.785.
Le yen lui a aussi fait subir sa pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.07% pour chuter à 98.06, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF stagnant à 1.201.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont également exercé leur domination, l'EUR/AUD plongeant de 0.41% pour sombrer à 1.1786, l'EUR/CAD reculant de 0.19% jusqu'à 1.2172 et l'EUR/NZD fondant de 0.29% vers 1.5224.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs dans l'immédiat, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.
En fin de première partie de séance européenne, il a ainsi fléchi face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2323.
La monnaie unique a en effet courbé l'échine après qu'un porte-parole du ministère des finances de l'Allemagne ait assuré n'être au courant d'aucun plan de la BCE concernant les coûts des dettes régionales, les médias ayant pourtant affirmé qu'elle pourrait y mettre un frein.
Le magazine germanique Der Spiegel avait en effet rapporté dimanche qu'il serait possible qu'elle établisse en septembre, lors de la prochaine rencontre de ses décideurs, un seuil pour les rapports des bons du trésor de la région, en s'engageant en cas de dépassement à en acquérir des quantités illimitées.
Mais celle-ci s'est refusée à tout commentaire sur la question.
Les observateurs restaient dans l'expectative d'une série de rencontres entre les dirigeants de la zone euro, dont d'éventuelles mesures de lutte contre la crise de la dette du bloc seraient le point central.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, est en effet attendu mercredi à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension de son programme de réformes fiscales.
Tous les yeux seront tournés Mercredi prochain vers la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
Les bonnes performances des Etats-Unis dévoilées la semaine dernière avaient déjà laissé entrevoir une stabilisation de l'économie nationale, tempérant l'espoir d'injections de capitaux par leur banque centrale.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.1% pour tomber à 0.785.
Le yen lui a aussi fait subir sa pression, l'EUR/JPY laissant échapper 0.07% pour chuter à 98.06, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF stagnant à 1.201.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont également exercé leur domination, l'EUR/AUD plongeant de 0.41% pour sombrer à 1.1786, l'EUR/CAD reculant de 0.19% jusqu'à 1.2172 et l'EUR/NZD fondant de 0.29% vers 1.5224.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs dans l'immédiat, et le volume des transactions faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.