Investing.com - L'euro demeurait proche de son creux des onze derniers mois face au dollar U.S. et en demi-teinte face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les observateurs restant nerveux malgré la réussite des enchères de dettes italiennes d'aujourd'hui, et dans l'attente de celes de demain.
En début de seconde partie de séance européenne, il n'a pas évolué devant le billet vert, l'EUR/USD étant stabilisé à 1.3072.
De nombreux acteurs des marchés avaient clôturé leur exercice afin d'assurer des profits avant la fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie a émis pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, contre 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre, mais aussi 1.73 milliards d'euros de titres à deux ans sans coupons à 5%.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.76%, sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier le fait que les 8.5 milliards d'obligations italiennes aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022 devant être proposées ce jeudi devraient constituer un test pus important de la confiance dans la capacité du pays à gérer son endettement.
La monnaie unique par contre gagné un peu de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.02% pour se hisser à 0.8342, aux abords là aussi de son ornière des 11 mois écoulés.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.19% pour se retrouver à 101.58 et l'EUR/CHF glissant de 0.13% pour tomber à 1.2196.
Il avait été signalé ce matin que le principal baromètre économique de la Suisse avait baissé en décembre de manière nettement supérieure aux craintes, établissant un nouveau creux historique pour le second mois d'affilée.
Des informations préliminaires avaient auparavant montré que la production industrielle nippone avait davantage diminué en novembre qu'il n'avait été redouté, plongeant de 2.6% tandis qu'une autre étude signalait pour sa part que les ventes au détail du pays avaient connu dans le même temps un recul supérieur aux craintes en dégringolant de 2.3%.
Les autorités nationales ont de leur côté rappelé que leur position concernant d'éventuelles interventions sur le marché des changes si nécessaire n'avait pas varié.
La monnaie unique a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.19% pour aller vers 1.3289, l'EUR/AUD reculant de 0.28% pour descendre à 1.2833 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.4% pour toucher le fond à 1.6842.
En début de seconde partie de séance européenne, il n'a pas évolué devant le billet vert, l'EUR/USD étant stabilisé à 1.3072.
De nombreux acteurs des marchés avaient clôturé leur exercice afin d'assurer des profits avant la fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie a émis pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, contre 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre, mais aussi 1.73 milliards d'euros de titres à deux ans sans coupons à 5%.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.76%, sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier le fait que les 8.5 milliards d'obligations italiennes aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022 devant être proposées ce jeudi devraient constituer un test pus important de la confiance dans la capacité du pays à gérer son endettement.
La monnaie unique par contre gagné un peu de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.02% pour se hisser à 0.8342, aux abords là aussi de son ornière des 11 mois écoulés.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.19% pour se retrouver à 101.58 et l'EUR/CHF glissant de 0.13% pour tomber à 1.2196.
Il avait été signalé ce matin que le principal baromètre économique de la Suisse avait baissé en décembre de manière nettement supérieure aux craintes, établissant un nouveau creux historique pour le second mois d'affilée.
Des informations préliminaires avaient auparavant montré que la production industrielle nippone avait davantage diminué en novembre qu'il n'avait été redouté, plongeant de 2.6% tandis qu'une autre étude signalait pour sa part que les ventes au détail du pays avaient connu dans le même temps un recul supérieur aux craintes en dégringolant de 2.3%.
Les autorités nationales ont de leur côté rappelé que leur position concernant d'éventuelles interventions sur le marché des changes si nécessaire n'avait pas varié.
La monnaie unique a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.19% pour aller vers 1.3289, l'EUR/AUD reculant de 0.28% pour descendre à 1.2833 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.4% pour toucher le fond à 1.6842.