Investing.com - L'euro a patiné face au dollar U.S. ce vendredi matin, peinant à s'extraire d'une ornière de deux semaines, après que les bons résultats dévoilés hier par les Etats-Unis aient de nouveau alienté d'une diminution des coups de pouce de leur banque centrale dès le mois prochain.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3255 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3248, frémissant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3190, son plancher du 2 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3340, son plafond d'hier.
Le département d'état au commerce américain a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
La devise européenne s'était retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive dirigée par les Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,04% pour glisser à 0,8537.
Les autorités de l'Europe devraient pour leur part publier aujourd'hui des informations préliminaires portant sur l'évolution des prix à la consommation, ainsi que sur le taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3255 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3248, frémissant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3190, son plancher du 2 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3340, son plafond d'hier.
Le département d'état au commerce américain a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part constaté pour la semaine achevée le 24 août le plus faible nombre d'inscriptions depuis octobre 2007.
Il en a ainsi dénombré 6.000 de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 5.000 était espérée.
La devise européenne s'était retrouvée sur la défensive alors qu'il se disait que la Grèce pourrait avoir besoin d'un nouveau plan de sauvetage en 2014.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive dirigée par les Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie, après que cellui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,04% pour glisser à 0,8537.
Les autorités de l'Europe devraient pour leur part publier aujourd'hui des informations préliminaires portant sur l'évolution des prix à la consommation, ainsi que sur le taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.