Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce jeudi matin, la prudence restant de mise dans l'attente de la prise de cap de son émettrice et des nouvelles du marché du travail où son adversaire a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3163 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3175, perdant 0,24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3090, son plancher du 19 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3255, son plafond du 30 août.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion d'aujourd'hui.
Les récentes performances manufacturières américaines ont d'autre part conforté l'hypothèse d'un coup de frein aux assouplissements quantitatifs de la Réserve Fédérale dès septembre.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8442.
Le gouvernement allemand comptait pour sa part faire connaître sous peu le volume des commandes passées auprès des usines, après quoi Banque Centrale Européenne annoncera les conclusions de son conseil d'orientation, et son président Mario Draghi prendra alors la parole.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera quand à elle le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec le niveau de l'activité nationale hors industries.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3163 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3175, perdant 0,24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3090, son plancher du 19 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3255, son plafond du 30 août.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion d'aujourd'hui.
Les récentes performances manufacturières américaines ont d'autre part conforté l'hypothèse d'un coup de frein aux assouplissements quantitatifs de la Réserve Fédérale dès septembre.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8442.
Le gouvernement allemand comptait pour sa part faire connaître sous peu le volume des commandes passées auprès des usines, après quoi Banque Centrale Européenne annoncera les conclusions de son conseil d'orientation, et son président Mario Draghi prendra alors la parole.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera quand à elle le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec le niveau de l'activité nationale hors industries.