Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre légèrement l'avantage ce lundi matin, la déception découlant des embauches des Etats-Unis étant allée à l'encontre de l'hypothèse selon laquelle leur économie reprenait sans heurts et donc que l'émettrice de son adversaire fermerait les vannes sous peu.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3263 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3276, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3238, son plancher du 29 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3276, son plafond du premier août.
Le département d'état au travail américain en effet compté 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 195.000 était revu à la baisse jusqu'à 188.000.
Le taux de chômage a cependant fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,4% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
La monnaie unique demeurait sur la pression Mario Draghi, son président, ait déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8684, mais le yen a creusé l'écart, l'EUR/JPY dérapant de 0,57% pour glisser à 130,66.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée son rapport sur l'état des prestataires de services, après que le bloc euro ait donné les chiffres de ses ventes au détail.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3263 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3276, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3238, son plancher du 29 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3276, son plafond du premier août.
Le département d'état au travail américain en effet compté 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée, tandis que le total précédent de 195.000 était revu à la baisse jusqu'à 188.000.
Le taux de chômage a cependant fondu sans crier gare depuis 7,6 vers 7,4% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
La monnaie unique demeurait sur la pression Mario Draghi, son président, ait déclaré lors de sa conférence de presse post-réunion que les taux d'intérêt régionaux demeureraient faibles encore longtemps.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8684, mais le yen a creusé l'écart, l'EUR/JPY dérapant de 0,57% pour glisser à 130,66.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée son rapport sur l'état des prestataires de services, après que le bloc euro ait donné les chiffres de ses ventes au détail.