Investing.com - L'euro n'a pas flanché face au dollar U.S. ce vendredi matin, dans le sillage de premiers résultats peu encourageants, dans l'expectative de la publication imminente des suivants.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3325 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3338, trébuchant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3278, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3391, son plafond du 9.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant révélé que l'excédent des paiements courants avait davantage diminué en juin qu'anticipé, passant ainsi de 19,5 à 16,ç milliards d'euros.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 19 milliards d'euros pour la période considérée.
Le billet vert avait d'autre part repris des couleurs après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Il a d'autre part constaté que leurs prix proposés aux particuliers avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement en juillet, et que ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Mais l'enthousiase demeurait limité par la stagnation de leur production industrielle du mois passé, alors qu'un frémissement de 0,3% était espéré.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie avait connu pour août sa progression la plus minime en quatre mois, et que celle dans la zone de New York avait diminué sans crier gare.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8534.
Le bloc l'ayant adoptée était pour sa part sur le point de dévoiler aujourd'hui les évolutions des ses prix à la consommation.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3325 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3338, trébuchant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3278, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3391, son plafond du 9.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant révélé que l'excédent des paiements courants avait davantage diminué en juin qu'anticipé, passant ainsi de 19,5 à 16,ç milliards d'euros.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessous des 19 milliards d'euros pour la période considérée.
Le billet vert avait d'autre part repris des couleurs après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Il a d'autre part constaté que leurs prix proposés aux particuliers avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement en juillet, et que ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Mais l'enthousiase demeurait limité par la stagnation de leur production industrielle du mois passé, alors qu'un frémissement de 0,3% était espéré.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie avait connu pour août sa progression la plus minime en quatre mois, et que celle dans la zone de New York avait diminué sans crier gare.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8534.
Le bloc l'ayant adoptée était pour sa part sur le point de dévoiler aujourd'hui les évolutions des ses prix à la consommation.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.