Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mercredi matin, l'aggravation des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et la Syrie continuant à encourager la popularité des valeurs sûres.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3374 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3377, trébuchant de 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3321, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3426, son plafond du 21 août.
La nervosité ambiante se trouvant exacerbée par la crainte grandissante d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie, le vice-président américain Joe Biden ayant affirmé hier ne pas douter que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles seraient mises devant leurs responsabilités.
Le dollar U.S. a aussi retrouvé des couleurs après que les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale étant revenues après qu'il ait été montré dans le même temps que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
La groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs avait frémi depuis les 81,0 révisés vers le haut de juillet vers 81,5, alors que les experts pensaient qu'il trébucherait à 79,0 pour la période considérée.
Le monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8625 et l'EUR/JPY gagnant 0,16% pour s'établir à 130,15.
Les membres du secteur immobilier des Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3374 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3377, trébuchant de 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3321, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3426, son plafond du 21 août.
La nervosité ambiante se trouvant exacerbée par la crainte grandissante d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie, le vice-président américain Joe Biden ayant affirmé hier ne pas douter que les autorités de Damas avaient employé des armes chimiques contre la population, et qu'elles seraient mises devant leurs responsabilités.
Le dollar U.S. a aussi retrouvé des couleurs après que les rumeurs de réduction de la voilure des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale étant revenues après qu'il ait été montré dans le même temps que la confiance des particuliers des Etats-Unis avait davantage augmenté en août qu'espéré, atteignant ainsi son meilleur niveau depuis janvier 2008.
La groupe de recherches sur les marchés Conference Board a ainsi révélé que son baromètre de l'humeur des consommateurs avait frémi depuis les 81,0 révisés vers le haut de juillet vers 81,5, alors que les experts pensaient qu'il trébucherait à 79,0 pour la période considérée.
Le monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP grignotant 0,12% pour se hisser à 0,8625 et l'EUR/JPY gagnant 0,16% pour s'établir à 130,15.
Les membres du secteur immobilier des Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur nombre des ventes d'habitations en cours.