Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé jusqu'à la parité face à son cousin canadien pour la première fois depuis début août ce lundi après-midi, les craintes concernant l'expansion économique planétaire encourageant la popularité des valeurs sûres.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 1.0004 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 7 août, puis s'est stabilisée vers 0.9997, prenant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9941, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.0075, son plafond du 3 août.
Le volume des échanges avait toutes les chances de rester réduit au cours de la session des Etats-Unis, en raison de la première fermeture impromptue des marchés du pays depuis septembre 2001, alors que sa région nord-est se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.
Les inquiétudes au sujet de la reprise économique américaine demeuraient pour leur part présentes malgré la bonne surprise concernant la croissance du pays dévoilée lors de la journée de cotation précédente, les médiocres performances des entreprises au troisième trimestre laissant redouter un ralentissement de la demande.
La méfiance se trouvait exacerbée par les doutes concernant la capacité de la Grèce à remplir les objectifs de réduction des déficits, les négociations au sein de la coalition au pouvoir étant dans l'impasse à propos de la prochaine série de coupes budgétaires.
L'attention se trouvait aussi captée par la réception imminente du premier ministre italien Mario Monti à Madrid par son homologue espagnol Mariano Rajoy, afin de discuter de la crise de la dette du bloc euro.
La monnaie du Canada demeurait quand à lui sur la sellette après que l'agence de notation Moody's ait fait savoir lors de la journée de cotation précédente que ses appréciations de six des banques du nationales se trouvaient remises en question, en vue d'une possible dégradation.
Le loonie a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CAD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2902.
Le billet vert a pour sa part fait peu de cas de l'étude officielle selon laquelle l'indice de la consommation individuelles avait comme prévu progressé de 0.1% en septembre, tandis que les dépenses des particuliers gagnaient 0.8% au lieu des 0.6% espérés.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 1.0004 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 7 août, puis s'est stabilisée vers 0.9997, prenant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9941, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.0075, son plafond du 3 août.
Le volume des échanges avait toutes les chances de rester réduit au cours de la session des Etats-Unis, en raison de la première fermeture impromptue des marchés du pays depuis septembre 2001, alors que sa région nord-est se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.
Les inquiétudes au sujet de la reprise économique américaine demeuraient pour leur part présentes malgré la bonne surprise concernant la croissance du pays dévoilée lors de la journée de cotation précédente, les médiocres performances des entreprises au troisième trimestre laissant redouter un ralentissement de la demande.
La méfiance se trouvait exacerbée par les doutes concernant la capacité de la Grèce à remplir les objectifs de réduction des déficits, les négociations au sein de la coalition au pouvoir étant dans l'impasse à propos de la prochaine série de coupes budgétaires.
L'attention se trouvait aussi captée par la réception imminente du premier ministre italien Mario Monti à Madrid par son homologue espagnol Mariano Rajoy, afin de discuter de la crise de la dette du bloc euro.
La monnaie du Canada demeurait quand à lui sur la sellette après que l'agence de notation Moody's ait fait savoir lors de la journée de cotation précédente que ses appréciations de six des banques du nationales se trouvaient remises en question, en vue d'une possible dégradation.
Le loonie a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/CAD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2902.
Le billet vert a pour sa part fait peu de cas de l'étude officielle selon laquelle l'indice de la consommation individuelles avait comme prévu progressé de 0.1% en septembre, tandis que les dépenses des particuliers gagnaient 0.8% au lieu des 0.6% espérés.