Investing.com - Le dollar U.S. a laissé la priorité au franc suisse lors des transactions apaisées de ce mardi, les opérateurs empochant les bénéfices découlant de sa récente ascension, bien que la prudence demeure de mise vis-à-vis des perspectives d'expansion de la zone euro, encourageant les valeurs refuge.
La paire USDCHF est descendue jusqu'à 0,9521 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 16 mai, puis s'est stabilisée vers 0,9541, perdant 0,37%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9476, son plancher du 10 mai, et de rencontrer de la résistance à 0,9596, son plafond d'hier.
L'étalon américain s'est en effet retrouvé en nette difficulté sur fond d'encaissement de plus-values à l'approche d'une série de résultats économiques portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique là où il a cours.
Sa popularité continuait cependant à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La circonspection restait à l'ordre du jour au vu du tableau nuancé offert par le bloc ayant adopté la monnaie unique.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet constaté que la production industrielle de la zone euro avait bondi en mars de 1% après ajustement saisonnier, soit plus du double des 0,4% espérés.
Il a par contre été montré que le moral économique germanique s'était moins renforcé pour mai qu'anticipé, ravivant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc.
Le baromètre de la confiance dans l'économie allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW a ainsi frémi depuis les 36,3 d'avril vers 36.4, soit nettement moins que les 38,3 envisagés.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF laissant échapper 0,15% pour glisser à 1,2407.
La Banque d'Italie a pour sa part révélé que la dette nationale avait dépassé tous les records en mars avec 2,03 billions d'euros.
La paire USDCHF est descendue jusqu'à 0,9521 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 16 mai, puis s'est stabilisée vers 0,9541, perdant 0,37%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9476, son plancher du 10 mai, et de rencontrer de la résistance à 0,9596, son plafond d'hier.
L'étalon américain s'est en effet retrouvé en nette difficulté sur fond d'encaissement de plus-values à l'approche d'une série de résultats économiques portant notamment sur l'activité du secteur secondaire, les lancements de chantiers, l'inflation et le moral économique là où il a cours.
Sa popularité continuait cependant à profiter des rumeurs saugrenues de fin à court terme du programme d'acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale au vu des signes d'amélioration de l'économie dont elle a la charge.
La circonspection restait à l'ordre du jour au vu du tableau nuancé offert par le bloc ayant adopté la monnaie unique.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet constaté que la production industrielle de la zone euro avait bondi en mars de 1% après ajustement saisonnier, soit plus du double des 0,4% espérés.
Il a par contre été montré que le moral économique germanique s'était moins renforcé pour mai qu'anticipé, ravivant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc.
Le baromètre de la confiance dans l'économie allemande établi par le centre de recherches économiques ZEW a ainsi frémi depuis les 36,3 d'avril vers 36.4, soit nettement moins que les 38,3 envisagés.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF laissant échapper 0,15% pour glisser à 1,2407.
La Banque d'Italie a pour sa part révélé que la dette nationale avait dépassé tous les records en mars avec 2,03 billions d'euros.