Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur le franc suisse ce mardi, attendant la publication imminente de résultats économiques américains, sur fond d'incertitudes au sujet des orientations futures de son émettrice.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9350 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9347, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9242, son plancher du 2 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9418, son plafond du 10.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Richard Fisher, son homologue pour Dallas a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré le blason du billet vert en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Le moral a retrouvé du mordant après que la Banque Populaire de Chine ait rassuré en estimant que les facteurs saisonniers ayant entraîné une raréfaction de l'argent frais s'estomperaient, ajoutant que la gestion adéquate de celui-ci aiderait à entretenir une expansion des crédits raisonnable.
La devise helvète a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/CHF frémissant de 0,12% pour se hisser à 1,2257.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9350 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9347, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9242, son plancher du 2 juin, et de rencontrer de la résistance à 0,9418, son plafond du 10.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Richard Fisher, son homologue pour Dallas a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré le blason du billet vert en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Le moral a retrouvé du mordant après que la Banque Populaire de Chine ait rassuré en estimant que les facteurs saisonniers ayant entraîné une raréfaction de l'argent frais s'estomperaient, ajoutant que la gestion adéquate de celui-ci aiderait à entretenir une expansion des crédits raisonnable.
La devise helvète a par ailleurs pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/CHF frémissant de 0,12% pour se hisser à 1,2257.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.