Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé jusqu'à un pic de trois semaines et demie face au franc suisse ce jeudi, bénéficiant des rumeurs d'un éventuel tour de vis prochain des apports de capitaux de son émettrice.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9452 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9442, prenantt 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9373, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9494, son plafond du 5 juin.
Le billet vert gardait en effet des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,29% pour culminer à 1,2306.
La monnaie unique demeurait cependant fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9452 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9442, prenantt 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9373, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0,9494, son plafond du 5 juin.
Le billet vert gardait en effet des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,29% pour culminer à 1,2306.
La monnaie unique demeurait cependant fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.