Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé vers un sommet hebdomadaire face au yen ce jeudi matin, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de son émettrice ait montré qu'elle comptait finir par diminuer l'ampleur de ses coupes de pouce, les bonnes nouvelles provenant de la Chine nuisant à la valeur refuge nippone.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,33 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 98,19, gagnant 0,52%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,11, son plancher dd'hier, et de rencontrer de la résistance à 98,64, son plafond du 15 août.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "mitigés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après des statistiques aient dissipé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation du indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
La devise nippone a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY prenant 0,33% pour se hisser à 130,89.
Sur le front de la zone euro, l'estimation préliminaire du baromètre de l'activité du secteur secondaire français stagnait cependant à 49,7, alors qu'un frémissement à 50,3 était attendu.
Celui du tertiaire déviait par contre depuis 48,6 vers 47,7, sa pire valeur en deux mois, alors qu'un saut de puce à 49,2 semblait probable.
La zone euro et l'Allemagne comptaient d'autre part fournir en cours de matinée leurs propres chiffres à ce sujet, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,33 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 98,19, gagnant 0,52%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,11, son plancher dd'hier, et de rencontrer de la résistance à 98,64, son plafond du 15 août.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "mitigés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le billet vert avait retrouvé des couleurs après des statistiques aient dissipé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation du indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
La devise nippone a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY prenant 0,33% pour se hisser à 130,89.
Sur le front de la zone euro, l'estimation préliminaire du baromètre de l'activité du secteur secondaire français stagnait cependant à 49,7, alors qu'un frémissement à 50,3 était attendu.
Celui du tertiaire déviait par contre depuis 48,6 vers 47,7, sa pire valeur en deux mois, alors qu'un saut de puce à 49,2 semblait probable.
La zone euro et l'Allemagne comptaient d'autre part fournir en cours de matinée leurs propres chiffres à ce sujet, après quoi les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.