Investing.com - Les places asiatiques étaient largement en forme ce mercredi matin, celles de Hong Kong et de Chine continentale surpassant la tendance après que Xi Jinping, désormais à la tête du parti communiste chinois, ait alimenté l'espoir de nouvelles mesures de stimulation de la première économie de la région.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 2.1%, l'ASX/200 australien 0.4% et le Nikkei 225 japonais 0.4% aussi.
Les propos tenus hier par la nouvelle équipe dirigeante chinoise, les premiers depuis son arrivée le mois dernier, laissaient en effet entendre que la politique de soutien économique se poursuivrait.
Le premier secrétaire Xi Jinping a assuré que les autorités continueraient à ajuster la fiscalité et et apports de capitaux afin d'assurer une croissance stable.
Cette intervention a déclenché une vague d'achats à Shanghaï, qui rebondissait de 3% pour s'extraire de l'ornière de quatre ans sur laquelle s'était conclue la journée précédente, entraînant l'ancienne enclave anglaise à sa suite.
Les banques et les assurances s'y trouvaient parmi le poleton de tête, Ping An et China Life Insurance s'envolant respectivement de 5.8 and 4.5%, tandis que la China Construction Bank shares les imitait avec 2.9% et l'Industrial and Commercial Bank of China avec 2.3%.
Les promoteurs immobiliers n'étaient pas en reste, Sino Land suivant le mouvement avec 2.2% et Sun Hung Kai également avec 1.1%.
Tokyo concluait quand à elle au plus haut des sept mois écoulés, les grands noms de l'exportation profitant de la contre-performance de la devise nationale.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 9.5% au cours des trois semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel du yen renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
La devise nippone demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Sharp, fournisseur de matériel électronique grand public, empochait 4% suite à l'annonce de 120 millions d'USD de la part de Qualcomm.
Fast Retailing, pesant lourd sur le Nikkei, raflait 3% après avoir revendiqué des ventes nationales comparables ayant gonflé de 13.7% pour sa chaîne de modistes Uniqlo en novembre.
Sydney profitait aussi d'un secteur bancaire en forme, la Réserve Bancaire d'Australie ayant rabaissé hier son taux d'intérêt directeur à son niveau le plus bas depuis la crise financière mondialisée de 2009.
Elle l'a ainsi ramené sans surprise de 3.25 à 3%.
La bande des quatre plus grosses banques du pays surfait sur cette vague, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, en tête avec 1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant aussi à 0.6%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.5% et sur le FTSE 100 britannique à 0.4%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Les Etats-Unis attendront de leur côté le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale non agricole, ainsi que leurs chiffres officiels concernant les commandes auprès des usines et les réserves de pétrole brut, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité tertiaire.
L'attention restait cependant monopolisée par le spectre du mur fiscal du pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines restant avant la date fatidique.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 2.1%, l'ASX/200 australien 0.4% et le Nikkei 225 japonais 0.4% aussi.
Les propos tenus hier par la nouvelle équipe dirigeante chinoise, les premiers depuis son arrivée le mois dernier, laissaient en effet entendre que la politique de soutien économique se poursuivrait.
Le premier secrétaire Xi Jinping a assuré que les autorités continueraient à ajuster la fiscalité et et apports de capitaux afin d'assurer une croissance stable.
Cette intervention a déclenché une vague d'achats à Shanghaï, qui rebondissait de 3% pour s'extraire de l'ornière de quatre ans sur laquelle s'était conclue la journée précédente, entraînant l'ancienne enclave anglaise à sa suite.
Les banques et les assurances s'y trouvaient parmi le poleton de tête, Ping An et China Life Insurance s'envolant respectivement de 5.8 and 4.5%, tandis que la China Construction Bank shares les imitait avec 2.9% et l'Industrial and Commercial Bank of China avec 2.3%.
Les promoteurs immobiliers n'étaient pas en reste, Sino Land suivant le mouvement avec 2.2% et Sun Hung Kai également avec 1.1%.
Tokyo concluait quand à elle au plus haut des sept mois écoulés, les grands noms de l'exportation profitant de la contre-performance de la devise nationale.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 9.5% au cours des trois semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel du yen renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
La devise nippone demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre.
Ce dernier avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Sharp, fournisseur de matériel électronique grand public, empochait 4% suite à l'annonce de 120 millions d'USD de la part de Qualcomm.
Fast Retailing, pesant lourd sur le Nikkei, raflait 3% après avoir revendiqué des ventes nationales comparables ayant gonflé de 13.7% pour sa chaîne de modistes Uniqlo en novembre.
Sydney profitait aussi d'un secteur bancaire en forme, la Réserve Bancaire d'Australie ayant rabaissé hier son taux d'intérêt directeur à son niveau le plus bas depuis la crise financière mondialisée de 2009.
Elle l'a ainsi ramené sans surprise de 3.25 à 3%.
La bande des quatre plus grosses banques du pays surfait sur cette vague, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, en tête avec 1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.6%, celles sur le CAC 40 français l'estimant aussi à 0.6%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.5% et sur le FTSE 100 britannique à 0.4%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Les Etats-Unis attendront de leur côté le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale non agricole, ainsi que leurs chiffres officiels concernant les commandes auprès des usines et les réserves de pétrole brut, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité tertiaire.
L'attention restait cependant monopolisée par le spectre du mur fiscal du pays, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines restant avant la date fatidique.