Investing.com - L'euro a limité les dégâts subis contre le dollar U.S. ce mardi, ressortant de son creux journalier après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait affirmé que la priorité des décideurs était d'éviter un "défaut de paiement incontrôlé" de la Grèce.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3559, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.3667 en début de seconde partie de séance européenne, ne se laissant plus grignoter que 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.386, son plafond du 2 février.
Mme Merkel a en effet assuré lors d'un entretien radiodiffusé que l'Europe faisait tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher un manquement de la Grèce à ses obligations, déclarant: "Nous utilisons tous les outils à notre disposition pour l'éviter. Nous devons éviter tout phénomène désordonné concernant l'euro."
L'Italie a pour sa part vendu aux enchères un total de 6.48 milliards d'euros de bons à taux fixe, soit à peine moins que son objectif maximal fixé à 7 milliards.
Elle a notamment écoulé pour 4 milliards de bons à 5 ans, arrivant donc à maturité en 2016, et pour 3.86 milliards à 5.6%, leur taux le plus élevé depuis le mise en place de la monnaie unique.
Les bons arrivant en fin de parcours en 2018 ont quand à eux représenté un total de 2.62 milliards d'euros.
Il avait auparavant été question de négociations entre le ministère des finances italien et des représentants de la Chine, afin que celle-ci acquière des volumes "importants" d'obligations italiennes.
La monnaie unique a même gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8642.
Silvio Berlusconi, premier ministre italien, s'était engagé hier à faire approuver cette semaine son plan d'austérité impopulaire par les législateurs, un engagement destiné à rassurer les observateurs quand à la capacité de l'Italie à faire face au problème du surendettement régional.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.3559, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.3667 en début de seconde partie de séance européenne, ne se laissant plus grignoter que 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3493, son plancher des sept derniers mois datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.386, son plafond du 2 février.
Mme Merkel a en effet assuré lors d'un entretien radiodiffusé que l'Europe faisait tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher un manquement de la Grèce à ses obligations, déclarant: "Nous utilisons tous les outils à notre disposition pour l'éviter. Nous devons éviter tout phénomène désordonné concernant l'euro."
L'Italie a pour sa part vendu aux enchères un total de 6.48 milliards d'euros de bons à taux fixe, soit à peine moins que son objectif maximal fixé à 7 milliards.
Elle a notamment écoulé pour 4 milliards de bons à 5 ans, arrivant donc à maturité en 2016, et pour 3.86 milliards à 5.6%, leur taux le plus élevé depuis le mise en place de la monnaie unique.
Les bons arrivant en fin de parcours en 2018 ont quand à eux représenté un total de 2.62 milliards d'euros.
Il avait auparavant été question de négociations entre le ministère des finances italien et des représentants de la Chine, afin que celle-ci acquière des volumes "importants" d'obligations italiennes.
La monnaie unique a même gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8642.
Silvio Berlusconi, premier ministre italien, s'était engagé hier à faire approuver cette semaine son plan d'austérité impopulaire par les législateurs, un engagement destiné à rassurer les observateurs quand à la capacité de l'Italie à faire face au problème du surendettement régional.