Investing.com - Le dollar U.S. a conclu avec sur une note positive par rapport à la plupart de ses concurrents, limitant ainsi la casse du début de semaine, le manque de confiance des ménages américains ayant encouragé les valeurs refuge.
Le billet vert a en effet retrouvé des couleurs après que l'université du Michigan ait révélé que son baromètre du moral avait plongé de son pic de six ans à 85,1 jusqu'à 80,0, lor qu'un sursaut à 85,5 était espéré.
Il a du coup remonté contre l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,14% vers 1,3337, limitant son avancée hebdomadaire à 0,26%, et même pris l'avantage sur le yen, l'USD/JPY prenant 0,23% avant de se stabiliser à 97,61, engrangeant 0,43% sur la semaine.
Ces informations survenaient sur fond de rumeurs savamment entretenues concernant éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale, dont le président Ben Bernanke avait déclaré que la réduction de l'ampleur de ses 85 milliards d'USD de rachats dependrait des résultats économiques.
L'hypothèse était en effet à l'ordre du jour après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré jeudi 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Le bloc euro avait retrouvé le sourire la veille, après qu'il ait été montré que la croissance y avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
L'agence Eurostat a ainsi mesuré une expansion de 0,3% de son économie du début avril à la fin juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2%, la France n'étant pas en reste avec 0,5%, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne constituait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
La devise européenne a du coup pris l'avantage sur son homologue nippone, le couple EUR/JPY bondissant de 0,70% pour se hisser à 130,09.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne ne flanchait pas après que le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre ait indiqué que sa décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à un durcissement, afin d'éviter que le niveau historiquement bas des coûts des emprunts n'encourage pas l'inflation, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le GBP/USD a du coup trébuché de 0,05% pour terminer à 1,5624, engrangeant tout de même 1,09% depuis l'ouverture de lundi, et il en était de même avec la monnaie unique, l'EUR/GBP glissant de 0,81% pour reprendre pied à 0,8530.
Le procès-verbal détaillé de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui sera publié mercredi, mais aussi leurs statistiques concernant les nouvelles inscriptions au chômage et le secteur immobilier seront au centre des prochains débats.
Il ne feudra pas non plus négliger les résultats manufacturiers chinois et européens.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 19 août
Le Japon divulguera l'état de sa balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs exportées et importées.
L'Australie fera de même avec les ventes de véhicules neufs, reflétant la confiance des cnosommateurs.
L'Espagne vendra quand à elle des obligations décennales au plus offrant.
Mardi 20 août
La Réserve Bancaire d'Australie dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la politique monétaire, fournissant son analyse en profondeur de l'état de l'économie.
La Nouvelle-Zélande ne sera pas en reste, avec le niveau de l'inflation attendue.
L'Allemagne fera de même avec son inflation des coûts de production, signe avant-coureur de celle au détail.
Le Canada l'imitera avec le volume de ses ventes en gros, préfigurant celles au détail.
Mercredi 21 août
Le Royaume-Uni publiera un rapport sur les emprunts publics, tandis que les acteurs économiques feront connaître l'importance des commandes industrielles attendues.
Les Etats-Unis verront les poids lourds de l'immobilier fournir leurs chiffres des ventes de logements d'occasion, donnant le pouls du domaine de l'immobilier, alors que la Réserve Fédérale divulguera le compte-rendu détaillé de sa dernière prise de cap.
Jeudi 22 août
L'Australie publiera une série de résultats économiques cruciaux, et la Chine guettera l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier fourni par la banque HSBC.
La zone euro ne sera pas en reste avec les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, qui seront coplétées par celles de la France et de l'Allemagne.
Le Canada fera connaître l'empleur de ses ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Vendredi 23 août
Le Royaume-Uni dévoilera les informations révisées concernant son produit intérieur brut du second trimestre, tandis que les spécialites en fourniront d'autres portant sur les accords de prêts hypothécaires.
Le Canada fera connaître les évolutions de ses prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Les Etats-Unis achèveront la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs, signe de vigueur de l'économie.
Le billet vert a en effet retrouvé des couleurs après que l'université du Michigan ait révélé que son baromètre du moral avait plongé de son pic de six ans à 85,1 jusqu'à 80,0, lor qu'un sursaut à 85,5 était espéré.
Il a du coup remonté contre l'euro, l'EUR/USD dérapant de 0,14% vers 1,3337, limitant son avancée hebdomadaire à 0,26%, et même pris l'avantage sur le yen, l'USD/JPY prenant 0,23% avant de se stabiliser à 97,61, engrangeant 0,43% sur la semaine.
Ces informations survenaient sur fond de rumeurs savamment entretenues concernant éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale, dont le président Ben Bernanke avait déclaré que la réduction de l'ampleur de ses 85 milliards d'USD de rachats dependrait des résultats économiques.
L'hypothèse était en effet à l'ordre du jour après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré jeudi 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Le bloc euro avait retrouvé le sourire la veille, après qu'il ait été montré que la croissance y avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
L'agence Eurostat a ainsi mesuré une expansion de 0,3% de son économie du début avril à la fin juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2%, la France n'étant pas en reste avec 0,5%, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne constituait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
La devise européenne a du coup pris l'avantage sur son homologue nippone, le couple EUR/JPY bondissant de 0,70% pour se hisser à 130,09.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne ne flanchait pas après que le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre ait indiqué que sa décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à un durcissement, afin d'éviter que le niveau historiquement bas des coûts des emprunts n'encourage pas l'inflation, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le GBP/USD a du coup trébuché de 0,05% pour terminer à 1,5624, engrangeant tout de même 1,09% depuis l'ouverture de lundi, et il en était de même avec la monnaie unique, l'EUR/GBP glissant de 0,81% pour reprendre pied à 0,8530.
Le procès-verbal détaillé de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, qui sera publié mercredi, mais aussi leurs statistiques concernant les nouvelles inscriptions au chômage et le secteur immobilier seront au centre des prochains débats.
Il ne feudra pas non plus négliger les résultats manufacturiers chinois et européens.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 19 août
Le Japon divulguera l'état de sa balance commerciale, faisant la différence entre les valeurs exportées et importées.
L'Australie fera de même avec les ventes de véhicules neufs, reflétant la confiance des cnosommateurs.
L'Espagne vendra quand à elle des obligations décennales au plus offrant.
Mardi 20 août
La Réserve Bancaire d'Australie dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la politique monétaire, fournissant son analyse en profondeur de l'état de l'économie.
La Nouvelle-Zélande ne sera pas en reste, avec le niveau de l'inflation attendue.
L'Allemagne fera de même avec son inflation des coûts de production, signe avant-coureur de celle au détail.
Le Canada l'imitera avec le volume de ses ventes en gros, préfigurant celles au détail.
Mercredi 21 août
Le Royaume-Uni publiera un rapport sur les emprunts publics, tandis que les acteurs économiques feront connaître l'importance des commandes industrielles attendues.
Les Etats-Unis verront les poids lourds de l'immobilier fournir leurs chiffres des ventes de logements d'occasion, donnant le pouls du domaine de l'immobilier, alors que la Réserve Fédérale divulguera le compte-rendu détaillé de sa dernière prise de cap.
Jeudi 22 août
L'Australie publiera une série de résultats économiques cruciaux, et la Chine guettera l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier fourni par la banque HSBC.
La zone euro ne sera pas en reste avec les évaluations préliminaires de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, qui seront coplétées par celles de la France et de l'Allemagne.
Le Canada fera connaître l'empleur de ses ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale.
Les Etats-Unis conclurant de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Vendredi 23 août
Le Royaume-Uni dévoilera les informations révisées concernant son produit intérieur brut du second trimestre, tandis que les spécialites en fourniront d'autres portant sur les accords de prêts hypothécaires.
Le Canada fera connaître les évolutions de ses prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Les Etats-Unis achèveront la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs, signe de vigueur de l'économie.