Investing.com - La semaine dernière a vu le dollar U.S. finir en remontée contre l'euro et le yen après que les chiffres décevants de l'humeur des consommateurs américains ait étouffé le goût du risque et que le Japon ait rappelé la possibilité d'une nouvelle intervention sur le marché des changes.
L'euro est redescendu de son sommet du mois contre le dollar ce vendredi, sur fond de craintes pour le secteur bancaire irlandais, et après que les estimations préliminaires aient montré que l'humeur des consommateurs américains avait chuté sans crier gare vers son pire niveau depuis août 2009.
De son côté, la livre sterling a vu sa hausse contre le billet vert rabotée, la voyant retomber de son pic des 5 dernières semaines alors que la frilosité faisait son retour.
Le même jour aura vu Yoshihiko Noda, le ministre des finances japonais, réaffirmer la possibilité d'une nouvelle intervention sur le marché des changes pour affaiblir le yen, montrant la détermination du pays à défendre son économie, largement dépendante des exportations.
Le pays du soleil levant avait effectivement agi mercredi sur le forex pour la première fois en 6 ans, vendant environ 2 billions de yen, s'attirant les critiques des Etats-Unis et de l'Europe.
La semaine prochaine devrait voir la Réserve Fédérale U.S. annoncer son taux d'intérêt directeur et son président, Ben Bernanke, prendre la parole lors d'une conférence, et le pays publiera plusieurs rapports concernant l'immobilier et les inscriptions au chômage, ainsi que des chiffres cruciaux de la production manufacturière.
La zone euro fera quand à elle connaître les chiffres essentiels du climat des affaires allemand, ainsi que les donées préliminaires des secteurs secondaire et tertiaire.
La Grande-Bretagne donnera les chiffres de son immobilier, et la Banque d'Angleterre publiera le compte-rendu de la dernière réunion de son comité d'orientation de la politique monétaire. Elle fera également un rapport sur les emprunts du secteur public.
La Suisse dévoilera de son côté l'état de la balance de son commerce extérieur, et les marchés japonais resteront fermés mercredi pour cause de jour férié.
La banque centrale australienne divulguera elle aussi les détails de sa dernière réunion d'orientation de politique monétaire, et son gouverneur prendra la parole en public. La Nouvelle-Zélande donnera son PIB trimestriel et l'état de son compte courant. Le Canada finira la semaine avec deux études très attendues sur ses prix et ventes au détail.
Investing.com a rassemblé pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés pour la semaine à venir.
Lundi 20 septembre
Les Etats-Unis entameront la semaine avec les données issues de spécialistes concernant les ventes de logements, signe avant-coureur de santé économique. La Grande-Bretagne fera connaître l'estimation du nombre des prêts accordés nationalement.
En Australie, Glenn Stevens, gouverneur de la banque centrale, devrait prononcer un discours, et ses commentaires seront décortiqués afin d'en extraire des indices concernant la politique monétaire future. Le Canada fera connaître les chiffres de investissements étrangers et des ventes en gros, deux facteur importants pour la santé économique.
La Nouvelle-Zélande annoncera de son côté le volume de ses entrées de visiteurs, le tourisme représentant environ 10% de l'économie du pays.
Mardi 21 septembre
La Réserve Fédérale américaine fera connaître son taux d'intérêt directeur, suivi d'un communiqué explicatif. Le pays donnera également son nombre crucial des permis de construire et des débuts de chantiers, signes forts de croissance du secteur du bâtiment.
La Réserve Bancaire d'Australie publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation politique, qui permettra d'étudier en profondeur les facteurs économiques ayant influencé sa décision concernant les taux d'intérêt.
Le Royaume-Uni diffusera quand à lui un rapport sur les emprunts du secteur public, alors que la Suisse donnera les chiffres de son commerce extérieur, faisant la différence entre les marchandises ou biens exportés et importés au cours du mois étudié.
Le Canada divulguera les chiffres de son inflation à la consommation, signe avant-coureur de croissance économique, alors que la Nouvelle-Zélande dévoilera l'état de son compte courant.
Mercredi 22 septembre
La zone euro fera communiquera les chiffres de ses nouvelles commandes industrielles, signe avant-coureur de production des usines, les Etats-Unis ayant prévu de publier l'état de leurs réserves de pétrole brut.
Dans le reste du monde, la Banque d'Angleterre publiera le compte-rendu de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire. Celui-ci permet de mieux comprendre les influences économiques ayant mené à la décision du comité.
De son côté, le Canada publiera les chiffres cruciaux de leurs ventes au détail, signe principal des dépenses des consommateurs, alors que la Nouvelle-Zélande fera son rapport sur le PIB, indicateur principal de croissance économique.
Jeudi 23 septembre
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître le nombre hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, facteur de santé économique prépondérant, ainsi que les chiffes des ventes de logements d'occasion. Le pays divulguera également un indice de ses principaux signaux économiques, destiné à prédire la direction de l'économie future.
Ailleurs, l'Allemagne, la France et la zone euro dans son entier donneront les estimations préalables concernant la croissance de leurs secteurs secondaire et tertiaire.
La Grande-Bretagne publiera le nombre de ses accords de prêts, signe avant-coureur de demande sur le marché immobilier.
Vendredi 24 septembre
Les Etats-Unis termineront leur semaine avec le volume des commandes de biens durables, précurseur de la production manufacturière. Le pays diffusera également les chiffres de ventes d'habitations neuves, signe de future croissance du secteur immobilier.
Ben Bernanke, pésident de la Réserve Fédérale américaine, devrait prononcer un discours portant sur la politique économique américaine. Il sera analysé en profondeur dans l'espoir d'en tirer des indices sur la direction future de l'économie.
Concernant la zone euro, l'institut de recherches économiques Ifo dévoilera l'état de la confiance dans les affaires allemandes.
L'euro est redescendu de son sommet du mois contre le dollar ce vendredi, sur fond de craintes pour le secteur bancaire irlandais, et après que les estimations préliminaires aient montré que l'humeur des consommateurs américains avait chuté sans crier gare vers son pire niveau depuis août 2009.
De son côté, la livre sterling a vu sa hausse contre le billet vert rabotée, la voyant retomber de son pic des 5 dernières semaines alors que la frilosité faisait son retour.
Le même jour aura vu Yoshihiko Noda, le ministre des finances japonais, réaffirmer la possibilité d'une nouvelle intervention sur le marché des changes pour affaiblir le yen, montrant la détermination du pays à défendre son économie, largement dépendante des exportations.
Le pays du soleil levant avait effectivement agi mercredi sur le forex pour la première fois en 6 ans, vendant environ 2 billions de yen, s'attirant les critiques des Etats-Unis et de l'Europe.
La semaine prochaine devrait voir la Réserve Fédérale U.S. annoncer son taux d'intérêt directeur et son président, Ben Bernanke, prendre la parole lors d'une conférence, et le pays publiera plusieurs rapports concernant l'immobilier et les inscriptions au chômage, ainsi que des chiffres cruciaux de la production manufacturière.
La zone euro fera quand à elle connaître les chiffres essentiels du climat des affaires allemand, ainsi que les donées préliminaires des secteurs secondaire et tertiaire.
La Grande-Bretagne donnera les chiffres de son immobilier, et la Banque d'Angleterre publiera le compte-rendu de la dernière réunion de son comité d'orientation de la politique monétaire. Elle fera également un rapport sur les emprunts du secteur public.
La Suisse dévoilera de son côté l'état de la balance de son commerce extérieur, et les marchés japonais resteront fermés mercredi pour cause de jour férié.
La banque centrale australienne divulguera elle aussi les détails de sa dernière réunion d'orientation de politique monétaire, et son gouverneur prendra la parole en public. La Nouvelle-Zélande donnera son PIB trimestriel et l'état de son compte courant. Le Canada finira la semaine avec deux études très attendues sur ses prix et ventes au détail.
Investing.com a rassemblé pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que de tous ceux également susceptibles d'influencer les marchés pour la semaine à venir.
Lundi 20 septembre
Les Etats-Unis entameront la semaine avec les données issues de spécialistes concernant les ventes de logements, signe avant-coureur de santé économique. La Grande-Bretagne fera connaître l'estimation du nombre des prêts accordés nationalement.
En Australie, Glenn Stevens, gouverneur de la banque centrale, devrait prononcer un discours, et ses commentaires seront décortiqués afin d'en extraire des indices concernant la politique monétaire future. Le Canada fera connaître les chiffres de investissements étrangers et des ventes en gros, deux facteur importants pour la santé économique.
La Nouvelle-Zélande annoncera de son côté le volume de ses entrées de visiteurs, le tourisme représentant environ 10% de l'économie du pays.
Mardi 21 septembre
La Réserve Fédérale américaine fera connaître son taux d'intérêt directeur, suivi d'un communiqué explicatif. Le pays donnera également son nombre crucial des permis de construire et des débuts de chantiers, signes forts de croissance du secteur du bâtiment.
La Réserve Bancaire d'Australie publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation politique, qui permettra d'étudier en profondeur les facteurs économiques ayant influencé sa décision concernant les taux d'intérêt.
Le Royaume-Uni diffusera quand à lui un rapport sur les emprunts du secteur public, alors que la Suisse donnera les chiffres de son commerce extérieur, faisant la différence entre les marchandises ou biens exportés et importés au cours du mois étudié.
Le Canada divulguera les chiffres de son inflation à la consommation, signe avant-coureur de croissance économique, alors que la Nouvelle-Zélande dévoilera l'état de son compte courant.
Mercredi 22 septembre
La zone euro fera communiquera les chiffres de ses nouvelles commandes industrielles, signe avant-coureur de production des usines, les Etats-Unis ayant prévu de publier l'état de leurs réserves de pétrole brut.
Dans le reste du monde, la Banque d'Angleterre publiera le compte-rendu de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire. Celui-ci permet de mieux comprendre les influences économiques ayant mené à la décision du comité.
De son côté, le Canada publiera les chiffres cruciaux de leurs ventes au détail, signe principal des dépenses des consommateurs, alors que la Nouvelle-Zélande fera son rapport sur le PIB, indicateur principal de croissance économique.
Jeudi 23 septembre
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître le nombre hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, facteur de santé économique prépondérant, ainsi que les chiffes des ventes de logements d'occasion. Le pays divulguera également un indice de ses principaux signaux économiques, destiné à prédire la direction de l'économie future.
Ailleurs, l'Allemagne, la France et la zone euro dans son entier donneront les estimations préalables concernant la croissance de leurs secteurs secondaire et tertiaire.
La Grande-Bretagne publiera le nombre de ses accords de prêts, signe avant-coureur de demande sur le marché immobilier.
Vendredi 24 septembre
Les Etats-Unis termineront leur semaine avec le volume des commandes de biens durables, précurseur de la production manufacturière. Le pays diffusera également les chiffres de ventes d'habitations neuves, signe de future croissance du secteur immobilier.
Ben Bernanke, pésident de la Réserve Fédérale américaine, devrait prononcer un discours portant sur la politique économique américaine. Il sera analysé en profondeur dans l'espoir d'en tirer des indices sur la direction future de l'économie.
Concernant la zone euro, l'institut de recherches économiques Ifo dévoilera l'état de la confiance dans les affaires allemandes.