Investing.com - Le dollar U.S. a vu son avance sur son cousin canadien fondre ce mardi, retombant d'un pic des deux dernières semaines alors que la peur d'un fléchissement de la reprise économique américaine le tirait vers le bas.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 0.9617 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 18 juin, puis s'est stabilisée vers 0.9577, prenant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.949, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 0.9635, son plafond déjà évoqué.
Le bureau d'analyse économique a en effet annoncé que son indice PCE des prix de base avait augmenté de 0.1% ajustés saisonnièrement en juin, au lieu de 0.2% attendus.
L'étude montrait également que les revenus individuels avaient connu une progression de 0.1% dans le même temps, la plus faible depuis novembre dernier, décevant aussi les experts tablant sur 0.2%, tandis que les dépenses personnelles baissaient de 0.2% sans crier gare, leur premier recul en presque deux ans.
La chambre des représentants a quand à elle approuvé hier soir la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, qui devrait également être adoptée par le sénat lors du vote final en fin de journée.
La crainte selon laquelle cet accord sur l'augmentation de la limite d'endettement des Etats-Unis ne suffirait pas à éviter un abaissement de la notation monétaire du pays a toutefois continué à peser sur le billet vert.
Le loonie a également retrouvé des couleurs après que le pétrole brut pour septembre se soit extirpé de son creux des cinq dernières semaines pour s'échanger à 94.88 à la bourse aux matières premières de New York, grignnotant 0.4% après avoit été jusqu'à 1.35% de recul en début de séance.
Les matières premières, et notamment l'or noir, constituent près de la moitié des revenus à l'exportation du Canada.
La devise canadienne a également grignoté quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/CAD trébuchant de 0.03% pour descendre à 1.3631.
Les dividendes des obligations italiennes et espagnoles ont bondi aujourd'hui vers des niveaux jamais vus en 14 ans, ravivant le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les plus grosses économies de la région, et ce malgré le nouveau plan d'assistance à la Grèce.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 0.9617 en première partie de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 18 juin, puis s'est stabilisée vers 0.9577, prenant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.949, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 0.9635, son plafond déjà évoqué.
Le bureau d'analyse économique a en effet annoncé que son indice PCE des prix de base avait augmenté de 0.1% ajustés saisonnièrement en juin, au lieu de 0.2% attendus.
L'étude montrait également que les revenus individuels avaient connu une progression de 0.1% dans le même temps, la plus faible depuis novembre dernier, décevant aussi les experts tablant sur 0.2%, tandis que les dépenses personnelles baissaient de 0.2% sans crier gare, leur premier recul en presque deux ans.
La chambre des représentants a quand à elle approuvé hier soir la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, qui devrait également être adoptée par le sénat lors du vote final en fin de journée.
La crainte selon laquelle cet accord sur l'augmentation de la limite d'endettement des Etats-Unis ne suffirait pas à éviter un abaissement de la notation monétaire du pays a toutefois continué à peser sur le billet vert.
Le loonie a également retrouvé des couleurs après que le pétrole brut pour septembre se soit extirpé de son creux des cinq dernières semaines pour s'échanger à 94.88 à la bourse aux matières premières de New York, grignnotant 0.4% après avoit été jusqu'à 1.35% de recul en début de séance.
Les matières premières, et notamment l'or noir, constituent près de la moitié des revenus à l'exportation du Canada.
La devise canadienne a également grignoté quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/CAD trébuchant de 0.03% pour descendre à 1.3631.
Les dividendes des obligations italiennes et espagnoles ont bondi aujourd'hui vers des niveaux jamais vus en 14 ans, ravivant le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro vers les plus grosses économies de la région, et ce malgré le nouveau plan d'assistance à la Grèce.