Investing.com - L'euro a repris du poil de la bête face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, suite aux bonnes nouvelles provenant du baromètre des affaires allemandes tout en restant vulnérable à l'angoisse d'une contagion des économies majeures de la zone euro par la crise de la dette.
En première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.18% pour grimper à 1.3365.
L'institut allemand Ifo pour la recherche économique a en effet vu son indice du climat des affaires s'élever vers 106.6 après ajustement saisonnier, contre 106.4 précédemment.
Les spécialistes d'étaient pourtant attendus à le voir descendre à 105.5.
Ces informations laissaient à penser que la plus grosse économie de la zone euro se sortait mieux des problèmes de surendettement régionaux que ne le craignaient les experts.
La devise européenne s'était retrouvée boudée hier, après que la mise aux enchères de dettes allemandes la moins réussie depuis la mise en place de l'euro ait attisé la peur que le statut de refuge du pays ait été compromis.
Une réunion portant sur la manière de lutter contre l'aggravation des phénomènes liés à la dette régionale devrait avoir lieu en cours de journée entre les dirigeants allemands, français et italiens.
Elle a également pris du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.28% pour se hisser à 0.8618.
Des informations révisées avaient auparavant indiqué que les produit intérieur brut britannique avait augmenté sans surprise de 0.5% au troisièmee trimestre.
Elle n'a d'autre part presque pas subi la pression du yen et fait bonne figure devant le franc suisse, l'EUR/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 103.1 et l'EUR/CHF grignotant 0.07% pour culminer à 1.2284.
La présidente suisse Micheline Calmy-Rey avait déclaré dans la matinée que la surévaluation du second menaçait sérieusement l'économie helvète et se trouvait porteuse du risque de déflation, ajoutant que la Banque Nationale Suisse s'était engagée dans "un affaiblissement substantiel et durable" du franc.
La monnaie unique a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.3982, l'EUR/AUD reculant de 0.44% pour glisser à 1.3711 et l'EUR/NZD dérapant de 0.18% pour touchr le fond à 1.7994.
Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, a quand à lui justifié les décisions concernant la politique monétaire de celle-ci prises en cours d'année, estimant qu'elles étaient judicieuses, estimant toutefois qu'il faudrait davantage de temps pour savoir si il avait vraiment raison.
La RBA a en effet diminué ses taux en novembre, et bien que le pays bénéficie de la plus forte hausse des cours des matières premières de la décennie.
Les marchés américains demeureront de leur côté inactifs pour fêter thanksgiving.
En première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.18% pour grimper à 1.3365.
L'institut allemand Ifo pour la recherche économique a en effet vu son indice du climat des affaires s'élever vers 106.6 après ajustement saisonnier, contre 106.4 précédemment.
Les spécialistes d'étaient pourtant attendus à le voir descendre à 105.5.
Ces informations laissaient à penser que la plus grosse économie de la zone euro se sortait mieux des problèmes de surendettement régionaux que ne le craignaient les experts.
La devise européenne s'était retrouvée boudée hier, après que la mise aux enchères de dettes allemandes la moins réussie depuis la mise en place de l'euro ait attisé la peur que le statut de refuge du pays ait été compromis.
Une réunion portant sur la manière de lutter contre l'aggravation des phénomènes liés à la dette régionale devrait avoir lieu en cours de journée entre les dirigeants allemands, français et italiens.
Elle a également pris du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.28% pour se hisser à 0.8618.
Des informations révisées avaient auparavant indiqué que les produit intérieur brut britannique avait augmenté sans surprise de 0.5% au troisièmee trimestre.
Elle n'a d'autre part presque pas subi la pression du yen et fait bonne figure devant le franc suisse, l'EUR/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 103.1 et l'EUR/CHF grignotant 0.07% pour culminer à 1.2284.
La présidente suisse Micheline Calmy-Rey avait déclaré dans la matinée que la surévaluation du second menaçait sérieusement l'économie helvète et se trouvait porteuse du risque de déflation, ajoutant que la Banque Nationale Suisse s'était engagée dans "un affaiblissement substantiel et durable" du franc.
La monnaie unique a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.3982, l'EUR/AUD reculant de 0.44% pour glisser à 1.3711 et l'EUR/NZD dérapant de 0.18% pour touchr le fond à 1.7994.
Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, a quand à lui justifié les décisions concernant la politique monétaire de celle-ci prises en cours d'année, estimant qu'elles étaient judicieuses, estimant toutefois qu'il faudrait davantage de temps pour savoir si il avait vraiment raison.
La RBA a en effet diminué ses taux en novembre, et bien que le pays bénéficie de la plus forte hausse des cours des matières premières de la décennie.
Les marchés américains demeureront de leur côté inactifs pour fêter thanksgiving.