Investing.com - L'euro était largementn en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, encouragé par l'espoir prudent que la Grèce réussisse à dégager un consensus sur les conditions du second plan de sauvetage.
En fin de première partie de séance européeenne, il s'est élevé vers un pic des huit semaines écoulées contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.14 pour monter à 1.3278.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait aujourd'hui tenir des pourparlers avec les dirigeants des trois principaux partis politiques nationaux afin de discuter du contenu des nouvelles mesures d'austérité exigées en échange des 130 milliards d'euros du second plan de sauvetage.
Ces contreparties, fortement impopulaires, comprennent des milliards d'euros de coupes dans les dépenses gouvernementales, ainsi que des diminutions des salaires et des retraites.
La Grèce a besoin de boucler la restructuration de sa dette d'ici début mars afin de bénééficier du second programme de secours.
La monnaie unique a fait peu de cas de l'étude officielle signalant ce matin que les exportations allemandes avaient subi en décembre leur diminution la plus rapide en près de trois ans, ramenant l'excédent du commerce extérieur du pays de 14.9 vers 13.9 milliards d'euros.
Cette information laissait à craindre que l'estimation prévoyant un recul de 0.25% de l'économie de la zone euro au quatrième trimestre ait encore à être aggravée.
La Banque de France avait auparavant avoué que l'économie du pays serait nulle pour le premier trimestre 2012.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.3% pour grimper à 0.8366.
Les observateurs guettaient pour leur part la décision de demain sur les taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre, espérant l'ajout de 50 milliards de GBP d'assouplissement quantitatif fin de renflouer une croissance britannique hésitante.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.48% pour se hisser à 102.27 et l'EUR/CHF avançant de 0.17% pour se retrouver à 1.2109.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient toutefois à portée de tir, l'EUR/AUD trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2262 et l'EUR/NZD dérapant de 0.16% pour descendre à 1.5836.
I n'en a toutefois pas été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD progressant de 0.18% pour s'échanger à 1.321.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait fait savoir hier que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les résultats de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé à son plus bas niveau en trois ans.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il a affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant du travail ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.
En fin de première partie de séance européeenne, il s'est élevé vers un pic des huit semaines écoulées contre le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.14 pour monter à 1.3278.
Lucas Papademos, premier ministre grec, devait aujourd'hui tenir des pourparlers avec les dirigeants des trois principaux partis politiques nationaux afin de discuter du contenu des nouvelles mesures d'austérité exigées en échange des 130 milliards d'euros du second plan de sauvetage.
Ces contreparties, fortement impopulaires, comprennent des milliards d'euros de coupes dans les dépenses gouvernementales, ainsi que des diminutions des salaires et des retraites.
La Grèce a besoin de boucler la restructuration de sa dette d'ici début mars afin de bénééficier du second programme de secours.
La monnaie unique a fait peu de cas de l'étude officielle signalant ce matin que les exportations allemandes avaient subi en décembre leur diminution la plus rapide en près de trois ans, ramenant l'excédent du commerce extérieur du pays de 14.9 vers 13.9 milliards d'euros.
Cette information laissait à craindre que l'estimation prévoyant un recul de 0.25% de l'économie de la zone euro au quatrième trimestre ait encore à être aggravée.
La Banque de France avait auparavant avoué que l'économie du pays serait nulle pour le premier trimestre 2012.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.3% pour grimper à 0.8366.
Les observateurs guettaient pour leur part la décision de demain sur les taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre, espérant l'ajout de 50 milliards de GBP d'assouplissement quantitatif fin de renflouer une croissance britannique hésitante.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.48% pour se hisser à 102.27 et l'EUR/CHF avançant de 0.17% pour se retrouver à 1.2109.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient toutefois à portée de tir, l'EUR/AUD trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2262 et l'EUR/NZD dérapant de 0.16% pour descendre à 1.5836.
I n'en a toutefois pas été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD progressant de 0.18% pour s'échanger à 1.321.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, avait fait savoir hier que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les résultats de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé à son plus bas niveau en trois ans.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il a affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant du travail ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.